L'annonce a été faite jeudi par l'Agence européenne des médicaments (AEM). Plusieurs pays européens proposent déjà une troisième dose de vaccin à certaines catégories de leur population.

L’Organisation mondiale de la santé juge la situation épidémique sur le continent « inquiétante » et demande aux pays d’accélérer le processus de vaccination.

Contrôle des exportations, répartition des doses, passeport vaccinal... Les difficultés d'approvisionnement en vaccins devraient dominer jeudi le sommet de l'Union européenne, auquel est invité le pr…

L'Agence européenne des médicaments a annoncé qu'elle se réunirait le 21 décembre, afin de se pencher sur le sort du vaccin Pfizer/BioNTech. Les premiers Européens pourraient être "vaccinés avant la…

Pour Christian Sewing, le patron de Deutsche Bank, le rebond de l'économie sera bien plus lent que prévu, et le dirigeant s'attend à de « graves conséquences » pour les entreprises. Pendant ce temps, les conséquences de la crise continuent de se traduire en chiffres. L'Australie a ainsi connu une chute de 7 % de son PIB au deuxième trimestre, rompant avec trois décennies de croissance.

Alors que la France continue son déconfinement, pour le Conseil scientifique, le retour de l'épidémie de Covid-19 est "extrêmement probable" à l'automne.

Depuis plusieurs jours, l'Organisation mondiale de la santé alerte sur une potentielle reprise de l'épidémie sur plusieurs pays et continents, certains déconfinés.

La Commission européenne va proposer un plan de relance comprenant un fonds de 750 milliards d'euros. Il prévoit que les pays touchés par la pandémie bénéficient d'aides directes mais aussi de prêts. Pendant ce temps, l'activité semble reprendre lentement, notamment en France.

Le gouvernement d’Angela Merkel semble avoir cédé à la pression des Länder en renonçant à une approche graduée. Tous les magasins, restaurants, hôtels ou crèches vont pouvoir au rythme des modalités fixées localement.

Avec seulement 1 832 personnes contaminées et 81 décès au 7 avril, le pays méditerranéen semble avoir particulièrement bien tenu face à la pandémie de coronavirus. Selon le quotidien italien Corriere della Sera, cette réussite s’explique par la bonne attitude du gouvernement, qui a

Face à l’arrêt de l’économie, les gouvernements européens multiplient les mesures de chômage partiel. Objectif : éviter les licenciements secs pour permettre de redémarrer rapidement après le confinement.

Le 1er juillet, le certificat sanitaire européen, aussi connu sous le nom de passeport vaccinal, va entrer en vigueur dans les 27 États membres de l’Union. Celui-ci, censé relancer le tourisme, provoque déjà de nombreuses polémiques.

Sujet à polémique, le passeport de vaccination devrait permettre aux personnes vaccinées contre le Covid-19 de voyager librement, sans restriction. Un projet de "certifica

Avec presque 720 000 doses administrées, la péninsule italienne fait figure de leader, en valeur absolue, dans la course à la vaccination au sein de l’Union européenne.

L'institution estime que les chiffres de septembre « devraient servir d'alarme pour nous tous » alors que le nombre de nouveaux cas est désormais supérieur aux niveaux de mars et d'avril. L'organisation onusienne a également exclu de raccourcir sa recommandation d'une quarantaine de 14 jours pour tous ceux qui ont été en contact avec le virus.

« Bulles d’élèves », classes réduites, horaires décalés, masque obligatoire dès la maternelle… Chaque pays développe sa propre stratégie pour le retour en classe.

Si aucun pays n'a pour l'instant eu à reconfiner entièrement sa population, plusieurs grandes villes ou régions d'Europe ont réinstauré des restrictions de circulation pour lutter contre des rebonds locaux de l'épidémie de coronavirus.

Dans le cadre d’un nouveau plan présenté ce mercredi 10 juin par la Commission européenne, Bruxelles a cité Pékin comme une source de désinformation sur les sujets liés au coronavirus. Comme l’indique la presse internationale, c’est la première fois que l’UE “dénonce” officiellement l’

Cet accord franco-allemand, qui doit encore être validé par les autres Etats membres, est en soi une révolution.

« Au lieu d’utiliser les plans de relance pour soutenir le statu quo - en conservant des modèles économiques obsolètes et en investissant dans des actifs qui seront bientôt abandonnés - nous devrions investir dans la nouvelle économie pour sortir de la crise en meilleure forme que nous y sommes entrés, prêts pour l’avenir : durables, inclusifs, compétitifs et préparés »

Jeudi, les ministres des Finances de la zone euro sont finalement parvenus à un accord sur une réponse économique commune face au coronavirus. Un terrain d'entente a notamment été trouvé avec les Pays-Bas, qui bloquaient les discussions mardi. Bruno Le Maire a salué un « excellent accord », incluant « 500 milliards d'euros disponibles immédiatement » et « un fonds de relance à venir ».

Après 16 heures de négociations, les ministres des Finances de la zone euro n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur les mesures de soutien à prendre conjointement.