Met P2P voorbij markt en staat: voor een progressieve coalitie rond de commons. Met nieuws over op p2p gebaseerde praktijken en hoe de overheid, de politiek en de zakenwereld ermee (kunnen) omgaan...
Vous trouverez ci dessous mes principaux articles classés par catégories des problèmes aux quels leur contenu propose des solutions. La combinaison du tout nous permettra de nous débarrasser du joug des politiciens, de la précarité, du chômage, de la dette, et le plus fort, des impôts.
Il a appris la philosophie en prison dans les années 1970-1980 et s'en sert aujourd'hui pour analyser les paysages politique et économique français. Pour Bernard Stiegler, il faut mettre en place un nouveau système, fondé sur le numérique. Grand entretien.
Qu’y a-t-il de commun entre une coopérative, un potager partagé, un collectif de hackers ou une communauté autochtone gérant une forêt ? Tous « agissent et coopèrent avec leurs pairs, de manière auto-organisée, pour satisfaire leurs besoins essentiels », explique David Bollier. Ce chercheur états-unien et militant infatigable des biens communs nous invite à ne plus être des « créatures du marché », des consommateurs isolés sans autre pouvoir que de voter occasionnellement, mais à devenir plutôt des « commoneurs » : des acteurs d’un système de production, de relations sociales et de gouvernance alternatif au néolibéralisme.
Une révolution se produit sous nos yeux sans que nous ne prenions encore conscience des bouleversements qu’elle va apporter à notre manière de produire, de consommer, de financer des projets ou, tout simplement, d’apprendre.
Du logement à l’utilisation de la voiture en passant par la musique ou l’épargne, il n’y a pas un seul domaine de notre vie qui échappera au potentiel de nouveautés que cette révolution porte. Elle part dans tellement de directions (...)
Symba veut créer une monnaie régionale non-convertible en euros dont la valeur reposerait sur la confiance et les échanges entre les entreprises membres. L’enjeu est de fédérer les acteurs locaux afin de créer une monnaie complémentaire en Île de France pour développer la richesse économique, écologique, sociale et culturelle du territoire.
L’économie collaborative se présente comme une alternative au capitalisme. Son principe repose sur le passage d’une économie basée sur la soumission des consommateurs et la rivalité des producteurs à une économie valorisant la collaboration entre les utilisateurs d’un bien ou service. Michel Bauwens et la fondation Peer to Peer (P2P) ont publié en fin 2012 un ouvrage qui propose un panorama des grandes tendances actuelles et des expérimentations en cours [1]. Le propos est principalement descriptif (comment concrètement l’économie collaborative est pratiquée) et illustratif (de nombreux exemples concrets sont présentés). L’ouvrage est précieux car il donne à voir un large éventail de possibilités, il montre que l’alternative est déjà en marche, peut-être même à notre porte et en tout cas loin d’être hors de notre portée. Dans la note qui suit, mon propos est modeste. Je m’attache essentiellement à tirer quelques leçons, fondamentales je crois, qui prolongent la réflexion à laquelle Bauwens (2012) nous convie. Je tente de consolider la dimension « économie politique » [2].
La propriété intellectuelle est passée d’un fait marginal il y a 20 ans à un enjeu majeur de la citoyenneté mondiale. Dans une société de l’information et de la connaissance, la propriété intellectuelle est devenue le nerf de la guerre au niveau financier et démocratique.
« The New Digital Age » : ou comment les nouvelles technologies affectent l'avenirdes hommes. Derrière ce vaste intitulé, celui d'une des premières grandes conférences du festival « South by Southwest » (SXSW), consacré aux nouvelles technologies à Austin (Texas), se cache également le titre d'un livre publié en avril 2013 et signé par les deux participants : Eric Schmidt, PDG de Google entre 2001 et 2011, et Jared Cohen.
Le concept de révolution industrielle apparaît tout d'abord principalement chez Arnold Toynbee et Engels. Il sert essentiellement à décrire les bouleversements de la fin du XVIIIe siècle et du XIXe siècle. C'est l'affirmation du capitalisme, l’industrialisation de la Grande Bretagne, de l'Europe et des Etats-Unis. Mais au-delà de cette réalité spécifique, aujourd'hui c'est un concept plus général, qui est fréquemment utilisé. Grosso modo on peut dire qu'il désigne un important bouleversement des techniques et des moyens de production, mais avec la spécificité que ces changements ont des conséquences sur presque tous les aspects de la vie économique et sociale. Des changements technologiques dans le capitalisme il y en a en permanence et certains bouleversent des aspects particuliers importants, mais on ne peut parler vraiment de révolution technologique ou de révolution industrielle que lorsque les bouleversements provoqués touchent la plupart des aspects de la vie économique et sociale en général. En ce sens on peut dire que dans le capitalisme il y a eu jusqu'à présent deux grandes révolutions technologiques. La première est celle qui a commencé à la fin du XVIIIe siècle, avec la machine à vapeur, les chemins de fer, etc. La deuxième est celle de l'électricité, qui débute à cheval entre le XIXe et le XXe siècle.
Michel Bauwens, chercheur et fondateur de la P2P Foundation revient sur la montée de l’économie en peer to peer et de son impact et de sa relation avec le système capitaliste. Selon lui, les deux modèles sont en conflit mais demeurent encore interdépendants.
Le choc qu’occasionne la confrontation entre l’économie numérique et l’économie traditionnelle a complètement bouleversé et bouleversera encore bien plus le commerce, les structures institutionnelles ainsi que les grandes représentations qui ont façonné les sociétés occidentales. A ce jour, faute de régulation, l’économie numérique s’est avant tout développée contre l’économie traditionnelle. On oppose le plus souvent le numérique au tangible, le virtuel au réel. Pourtant, une autre voie est possible.
Michel Bauwens est un théoricien du Pair à pair, auteur et conférencier sur des sujets technologiques et culturels innovants. Il nous donne son point de vue sur les modèles économiques ouverts et les façons de les favoriser.
Un projet révolutionnaire est-il possible aujourd'hui ? le philosophe Pierre Dardot et le sociologue Christian laval en voient les prémices dans un principe qu'on retrouve dans les luttes sociales du monde entier, d'Istanbul à New York : le commun.
Jeremy Rifkin http://www.agoravox.tv/actualites/soc... explique que l'industrie nucléaire était morte après Three Mile Island et Tchernobyl (elle survivait relativement bien dans un pays : La France...). Sa renaissance est arrivée grâce au changement climatique. Le lobby nucléaire en ayant profité pour rebondir en prétendant être la solution, avec une technologie propre, non émettrice de CO2... Mais pour Jeremy Rifkin cette renaissance est éphémère et la mort de l'industrie nucléaire civile est bel et bien programmée...
Partout dans le monde, des mouvements contestent l'appropriation par une petite oligarchie des ressources naturelles, des espaces et des services publics, des connaissances et des réseaux de communication. Ces luttes élèvent toutes une même exigence, reposent toutes sur un même principe : le commun.
Banqueroutes frauduleuses, crise du climat, chômage, pollutions, exclusions… S’il est un sentiment largement partagé par la population dans son ensemble, c’est bien celui de l’impuissance généralisée du citoyen face aux grands problèmes de notre temps. La démocratie représentative a réussi ce tour de force de détourner le pouvoir de l’individu au profit d’assemblées et d’états sans pouvoirs et sans scrupules face aux diktats économiques de la pensée unique. Le comble du cynisme, ou du ridicule, est atteint, en plus, lorsqu’on le considère comme responsable de tous les maux, et qu’on lui enjoint de changer d’attitude pour sauver la planète : veillez à bien fermer le robinet d’eau quand vous vous lavez les dents ! Pour les retraites, désolé, mais il n’y a pas d’autre solution ! Que faire, sinon baisser les bras dans ce désert politique ? Et pourtant…
Si le modèle concurrentiel crée des redondances et gâche des ressources sur la protection des idées, la publicité et autre, le modèle coopératif gâche beaucoup de temps et de ressources à discuter et à discuter les discussions. Entre ces deux modèles, la stigmergie, une nouvelle méthode de gouvernance inspirée du mode d’organisation des insectes sociaux, pourrait offrir un modèle alternatif plus adapté à la collaboration dans des grands groupes.
Le bon vieux bricolage préfigure en fait une nouvelle discipline majeure. Acquérir de nouvelles connaissances, des savoir faire, utiliser des outils et des matériaux en nombre limité, construire à plusieurs en partageant, en mettant en commun. Le web, numérique de la connaissance, ne permet pas cela; il le facilite, l’amplifie, l’horizontalise. Puis, le numérique des objets, les Fablabs, les solutions hardware opensource se rajoutent à cette vague majeure de l’humanité. Probablement maîtrisés au début par des pionniers et de petits comités, ces techniques vont progressivement se diffuser dans la société par porosité. Ainsi outillés, ces collectifs humains seront parfaitement adaptés à la complexité du monde, à sa réalité imprévisible et chaotique. Les entreprises verticalisées constateront trop tard que leur créativité et leur potentiel d’innovation ne sont plus à l’intérieur mais à l’extérieur. Le bricolage deviendra un Art de se tisser aux autres et d’être soi : la bricologie.
Les biens communs, parfois appelés les communs tout court, constituent une originale et salutaire grille de lecture d’un monde en pleine mutation économique, sociale, politique et écologique.
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