L’Allemagne de Margarethe von Trotta | Gender and art | Scoop.it

De la révolutionnaire Rosa Luxemburg (1986), « première victime juive du XXe siècle », à Hannah Arendt (sorti en avril dernier), en passant par Rosenstrasse (2003), Margarethe von Trotta, réalisatrice cosmopolite et polyglotte, a décrit le combat de femmes insoumises, en proie à la solitude, au doute parfois, mais vaillantes. Tant par leur engagement que par leur pensée. Dans ce pays où le nazisme, même soixante-dix ans plus tard, reste une plaie toujours vive, elle est un exemple d’humanisme réfléchi...

 

 


Via Alcofribas