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Ainsi que je l’évoquais dans un billet précédent, la formation en situation de travail – souvent incarnée, en France, par la personne du tuteur – (re) devient un outil privilégié, souhaité à la fois par les opérationnels et par les personnes accompagnées elles-mêmes. Plusieurs avantages lui sont prêtés : adaptation aux besoins de l’individu, création d’un rapport de confiance facilitateur d’intégration, transfert direct des apprentissages à la résolution des problèmes de terrain, retour immédiat du tuteur sur la mise en œuvre des acquis… Mais comment assurer l’efficacité de cette formation terrain ? Est il préférable de structurer la démarche, voire de la contrôler ? Plusieurs accords d’entreprise sur le tutorat tendent dans ce sens.
Ou simplement de « créer un environnement favorable » et de laisser ensuite les apprentissages fertiliser ?
Tous les auteurs ne sont pas d’accord, alors je propose une hypothèse…

The networked information economy improves the practical capacities of individuals along three dimensions: (1) it improves their capacity to do more for and by themselves; (2) it enhances their capacity to do more in loose commonality with others, without being constrained to organize their relationship through a price system or in traditional hierarchical models of social and economic organization; and (3) it improves the capacity of individuals to do more in formal organizations that operate outside the market sphere. This enhanced autonomy is at the core of all the other improvements I describe. Individuals are using their newly expanded practical freedom to act and cooperate with others in ways that improve the practiced experience of democracy, justice and development, a critical culture, and community.