"Le 29 avril 2013, EcoFutur consacrait sa une à l’«open data». Autrement dit, à l’existence de «la masse infinie d’informations brutes désormais accessibles au public via Internet et que les start-up s’empressent d’exploiter». Presqu’un an plus tard, le monde numérique ne parle - presque - plus que de son rejeton : le «big data». Et de sa montée en puissance dans le business des mastodontes mondiaux du Web. [...]"


Via CLEMI - Centre de Liaison de l'Enseignement et des Médias d'Information, Michelle Laurissergues