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REPLAY - L'Institut national de recherche agronomique (Inra) teste en ce moment dans des grandes cultures des bandes fleuries. Objectif : se passer des produits chimiques. Via Hubert MESSMER , congruence-RSO 
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Touchés de plein fouet, les agriculteurs atteints de paraplégies, cancers... participent peu à peu à lever le tabou des pesticides en tentant de faire reconnaître leur pathologie en maladie professionnelle. L'association Phyto-Victimes les accompagne sur ce chemin semé d'embûches face à l'agrochimie. Via congruence-RSO
congruence-RSO's curator insight,
May 21, 2016 4:52 PM
(...) Avec d’autres agriculteurs victimes des pesticides, des avocats, des scientifiques, Paul François crée l’association PhytoVictimes en 2011. Elle entend aider les professionnels à faire reconnaître leurs pathologies et leurs droits en tant que malades des suites d’une exposition aux pesticides. Sans ce réseau, beaucoup d’agriculteurs, souvent isolés, n’oseraient pas entamer des démarches difficiles.
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La « guerre de l’ortie » va-t-elle prendre fin ? Voilà plus de dix ans que des associations luttent pour que les préparations naturelles dites « peu préoccupantes » (PNPP), comme le purin d’ortie, de prêle mais aussi l’argile ou le vinaigre blanc, ne soient plus soumises aux mêmes règles que les substances chimiques de synthèse (pesticides, engrais...). L’homologation de ces préparations naturelles alternatives se révélait jusque-là non seulement coûteuse – 40 000 euros en moyenne pour le dépôt d’un dossier – mais aussi très chronophage – plusieurs années pour obtenir l’homologation. En juillet 2014, un pas législatif avait été franchi, avec l’adoption de la loi d’avenir agricole qui reconnaît un régime simplifié pour l’utilisation et la commercialisation des PNPP. Via F. Delaveau
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Gestion des pesticides : une approche différente entre les pays européens et nord-américains. Les pays européens ont une gestion du risque basée sur le principe de précaution. Tandis qu'en Amérique du Nord, les autorités privilégient une approche axée sur l'atténuation de ces risques. Via congruence-RSO
congruence-RSO's curator insight,
May 22, 2016 5:16 AM
(audio fil) Le Canada obligé de réviser 350 pesticides interdits en Europe
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une nouvelle étude vient confirmer les soupçons qui pèsent sur les pesticides. Présentée lors du Pediatric Academic Societies Meeting qui se tient du 30 avril au 3 mai à Baltimore (Etats-Unis), la recherche montre un risque plus élevé de développer une forme d'autisme dans les régions exposées à l'épandage de produits anti-moustiques. (...)
Metronews, 02.05.2016 ___________________________________________________________________
[L'étude] via MedicalResearch.comMedicalResearch.com
Citation: April 2016 Pediatric Academic Societies abstract: Aerial Pesticide Exposure Increases the Risk of Developmental Delay and Autism Spectrum Disorder
Via Bernadette Cassel, Build Green
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... démarche particulièrement intéressante, de la part des agriculteurs !