La situation clinique décrite dans mon précédent post est une illustration concrète des conséquences du mésusage de l’IRM en cas de lombalgie. Mais finalement, quelles sont les bonnes pratiques ? Dans quelles situations l’IRM est-elle indiquée ? La réponse figure dans un article qui vient de paraître dans la revue de radiologie clinique d’Amérique du Nord.