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Protecting people rather than property or animals will be the priority under pioneering new German legal guidelines for the operation of driverless cars, the transport ministry said on Wednesday.
Germany is home to some of the world’s largest car companies, including Volkswagen (VOWG_p.DE), Daimler (DAIGn.DE) and BMW (BMWG.DE), all of which are investing heavily in self-driving technology.
German regulators have been working on rules for how such vehicles should be programmed to deal with a dilemma, such as choosing between hitting a cyclist or accelerating beyond legal speeds to avoid an accident.
Under new ethical guidelines - drawn up by a government-appointed committee comprising experts in ethics, law and technology - the software that controls such cars must be programmed to avoid injury or death of people at all cost.
Le gouvernement a officiellement donné son feu vert à l’utilisation du Bundestrojaner, le « cheval de Troie fédéral ».
La NSA aurait utilisé cet accord pour chercher à obtenir des informations sur les autorités françaises et plusieurs entreprises européennes stratégiques.
Dans son édition à paraître dimanche, le magazine « Der Spiegel » affirme que les cibles d'espionnage sont actualisées tous les quatre ans par le gouvernement allemand.
Voici une nouvelle fuite de données massive concernant l'Allemagne. Les identités numériques d'environ 16 millions d'internautes allemands ont été volées via un malware, causant un risque élevé pour leurs différents comptes en ligne.
Électronique et décentralisée, le Bitcoin est une monnaie privée qui n'est pas liée à un émetteur central. Mais ces particularités n'exonèrent pas ce système de respecter les règles fiscales dans les pays où il fonctionne. C'est en tout cas la position exprimée par les services de plusieurs États, dont l'Allemagne.
C'est un texte qui datait de la Guerre froide. L'Allemagne annonce qu'elle met fin à un accord passé avec les États-Unis et la Grande-Bretagne sur la surveillance de son territoire. Pour le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, cette décision était « nécessaire et appropriée », après les affaires d’espionnage révélées ces dernières semaines.
La société de chemin de fer allemande, la Deutsche Bahn vient d’annoncer souhaiter développer un réseau de drones de surveillance dans le but de lutter contre la prolifération des graffitis.
En Allemagne, la décision de Deutsche Telekom de plafonner la consommation de données à 75 Go par mois a surpris le gouvernement. Celui-ci a écrit à la direction de l'opérateur pour lui demander d'évaluer les éventuels effets de cette mesure sur la neutralité du net.
En Allemagne, les députés de la chambre basse du parlement ont adopté la Lex Google, qui créé un droit voisin en faveur de la presse. Il reste encore à convaincre les élus de la chambre haute, car la coalition au pouvoir n'a pas la majorité.
Mise à jour - À son tour, la chambre haute du parlement allemand a adopté la Lex Google, nous apprend IP Watch.
Alors que la presse française vient de trouver un accord avec Google, moyennant 60 millions d'euros pour une durée indéfinie pour le moment, l'Allemagne a une vision différente de la situation. Le pays de Nietzsche et de Brahms estime en effet qu'un tel arrangement ne résoudrait en aucun cas leurs différends.
Une étude très complète menée par l'Université de Columbia, auprès d'un échantillon de 1000 Allemands et 2303 Américains interrogés entre aogût et septembre 2011, montre que les Allemands sont plus sévères que les Américains à l'égard des pirates. Mais ils sont aussi une majorité à dire qu'ils seraient d'accord pour légaliser le partage de fichiers en échange du paiement d'une licence globale, et sont prêts à payer plus de 10 euros par mois.
Lors de l'inscription, le réseau social américain invite le nouvel usager à renseigner sa véritable identité et fournir de vraies informations le concernant. Dans le cas contraire, le site pourra prendre des sanctions à son encontre. Or, cette obligation serait contraire à la législation allemande, selon une commission chargée de la protection des données personnelles. Elle demande à Facebook d'assouplir ses règles, sous peine de devoir payer une amende dérisoire de 20 000 euros.
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Après avoir réalisé un contrôle sur place des services de renseignement, la Cnil allemande a dressé un bilan extrêmement critique des activités du Bundesnachrichtendienst (BND) en matière de collecte d'informations sur Internet.
Le site Netzpolitik a dévoilé le contenu d’un rapport jusque là confidentiel produit en juillet 2015 par Andrea Voßhoff, le commissaire à la protection des données en Allemagne, qui accable les services de renseignement allemands. Le rapport a été réalisé après la visite de l’homologue de la Cnil dans la station d’écoutes Bad Aibling, opérée conjointement en Bavière par l’agence allemande du renseignement, la Bundesnachrichtendienst (BND), et par la National Security Agency (NSA) américaine.
Malgré les difficultés à enquêter qu’il dénonce, Voßhoff dénombre dans son rapport 18 violations graves de la législation, et formule 12 réclamations formelles, qui obligent l’administration à répondre. Dans un pays encore meurtri par les souvenirs de la Stasi, le constat est violent.
En Allemagne, l'opérateur O2 a annoncé la mise en place d'une politique de "fair use" (ou "utilisation équitable") sur ses forfaits d'accès à internet par ADSL, pour brider le débit des internautes qui dépassent 300 Go de données par mois.
Google reste plus que jamais dans le collimateur de l'Allemagne. Au cœur d'une enquête sur une position monopolistique entretenue par la firme californienne, Google est désormais pointé du doigt pour ses pratiques en matière de vie privée.
En Allemagne, les autorités de protection de la vie privée de Hambourg ont envoyé une injonction à Google en expliquant que le géant californien était en violation de deux lois locales : la première portant sur les médias de télécommunications et l'autre sur la protection des données.
Le Chaos Computer Club, une des principales associations de hackers allemands et la Ligue internationale des droits de l'homme ont annoncé ce lundi porter plainte notamment contre Angela Merkel, contre le ministre de l'Intérieur Thomas de Maizière, contre les services de renseignement et de contre-espionnage allemand mais aussi contre les services de renseignements américain (NSA) et britannique (CGHQ) en raison des écoutes opérées sur les communications des Allemands.
La monnaie virtuelle la plus controversée vient d’être reconnue par l’Allemagne. Désormais, le bitcoin, qualifié de « monnaie privée » par le pays, est libre d’utilisation.
Trois fournisseurs de messageries ont décidé de chiffrer le trafic des e-mails entre leurs serveurs, par le protocole SSL/TLS. Le but : rassurer les citoyens allemands… et couper l’herbe sous les pieds des concurrents américains.
Selon le Spiegel, les services secrets allemands détourneraient actuellement 5 % du trafic passant par DE-CIX, le point d'échange Internet le plus important d'Europe, pour analyser son contenu.
Les bouquinistes du numérique viennent de perdre une nouvelle bataille. La cour fédérale de Bielefeld en Allemagne a statué en faveur d'une interdiction libre de la revente de fichiers numériques de seconde main. Un acte juridique qui tranche dans le même sens que l'avait fait la cour fédérale de Manhattan en début de mois dans l'affaire opposant le site en ligne ReDigi au label de musique Capital Records.
Déjà condamné en France suite à l'affaire Street View, Google vient d'écoper d'une amende de 145 000 euros en Allemagne. L'entreprise a été reconnue coupable de négligence en laissant sa flotte de véhicules enregistrer pendant deux ans des données personnelles circulant au sein de réseaux WiFi non protégés.
En Allemagne, les députés de la chambre basse du parlement ont adopté la Lex Google, qui créé un droit voisin en faveur de la presse. Il reste encore à convaincre les élus de la chambre haute, car la coalition au pouvoir n'a pas la majorité.
En Allemagne, un internaute privé de sa connexion Internet pendant trois mois est allé en justice pour réclamer un dédommagement. Dans son verdict, la Cour fédérale a considéré que l'accès à Internet étant une commodité essentielle. L'internaute sans connexion pendant une période aussi longue doit alors être dédommagé par le FAI.
Sur ces images, des Allemands encagoulés détruisent une à une des caméras de surveillance installées dans des espaces publics de Berlin. L’objectif de l’opération CAM OVER [la fin des caméras] est d’en neutraliser le plus possible avant le Congrès européen de la police qui débute le 19 février dans la capitale. Une stratégie contreproductive pour notre Observateur qui milite pourtant, lui aussi, contre ces techniques de surveillance.
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