Your new post is loading...
Your new post is loading...
Two weeks ago the Copyright Society of China (also known as the China Copyright Association) launched its new 12426 Copyright Monitoring Center, which is dedicated to scanning the Chinese Internet for evidence of copyright infringement. This frightening panopticon is said to be able to monitor video, music and images found on "mainstream audio and video sites and graphic portals, small and medium vertical websites, community platforms, cloud and P2P sites, SmartTV, external set-top boxes, aggregation apps, and so on."
When it finds content that matches material submitted to it by a copyright holder, the Center provides them with a streamlined notification and takedown machine, from the issuance of warning notices through to the provision of mediation services. The Center's technology service provider also provides platforms with filtering technology that can allow infringing materials to be blocked from upload or download to begin with, obviating the need for a separate takedown procedure.
Les requêtes DMCA reçues par Google ont encore doublées cette années pour atteindre 76 millions de demandes de désindexation en février 2016. Soit 18 millions de requêtes traitées par semaine !
Fasciné par le numérique, David Bowie avait anticipé la mort du droit d'auteur tel qu'il l'avait connu au vingtième siècle, et lancé son propre fournisseur d'accès à internet à la fin des années 1990, pour accompagner les besoins de ses fans plutôt que de lutter contre la montée inexorable des réseaux P2P.
David Bowie nous a quitté. L’annonce de la mort de l’artiste britannique, dont nous parlions ce matin, est aussi celle du décès d’un créateur de génie qui n’a eu de cesse d’essayer de vivre avec son temps et d’inventer l’avenir, pour ne jamais devenir le passé. Hélas la mort a gagné mais Bowie aura réussi à tenir jusqu’au bout son pari, jusqu’à sortir un ultime album dont toute la presse a parlé, quelques jours avant son décès.
Techniquement, il ne perd pas les droits. Il ne les a jamais eus. Mardi, la justice de Los Angeles a reconnu que la chanson Happy Birthday pour laquelle Warner Music continuait de percevoir des droits très importants chaque année était dans le domaine public depuis près d'un siècle.
TF1 avait fait bloquer sur YouTube un extrait vidéo dans laquelle la chaîne avait elle-même copié la vidéo de celui qui diffusait l'extrait. Juridiquement parlant, TF1 aurait pu s'entêter. Elle ne l'a pas fait.
Voici comment la Licorne à disparu.
Nina Paley a tout un parcours juridique initiatique… Au début, elle n’y connaissait pas grand chose (comme nous tous). Mais à l’occasion de la création de son film Sita Sings the Blues elle fait brutalement connaissance avec le copyright.
Source : Copyright : 20 ans de plus en Corée du Sud à cause de… l’Australie ! sur Romaine Lubrique Crédit : Simon Gee Giraudot (Creative Commons By-Sa)
Google a supprimé plusieurs extensions sur le Web Store Chrome, notamment liées à la recherche de torrent, car ils pourraient permettre » des accès non autorisés » à des contenu protégés par copyright.
Web Sheriff est une compagnie londonienne qui se vend aux artistes les plus offrant souhaitant faire retirer des contenus leur appartenant alors qu’ils sont partagés illégalement. UltimZone, un forum de partage Warez français vient d’en faire les frais avec son compte Twitter. Web Sheriff, composé de 20 juristes du copyright et experts de l’Internet, propose toute une série de services de lutte contre le piratage en ligne, pour des clients friqués… Le coût mensuel s’élève pour les artistes à 1 000 $, et peut grimper jusqu’à 25 000 $ selon la nature des services.
Zacqary Adam Green est un réalisateur étasunien pour le moins libre. Non content d’être au parti pirate new-yorkais, il dirige le projet Plankhead, une organisation/collectif/vaisseau pirate produisant de l’art libre. Sa vision du copyright est radicale : c’est, pour lui, un système inadapté.
En posant la question d’ordre pratique, le fameux “et qu’est-ce que tu vas faire ?”, il démontre à quel point les licences libres sont des outils légaux qui peuvent se rapprocher des vœux pieux.
Il est amusant de voir que ceux que l’on traite d’utopistes, de doux rêveurs, sont ceux qui font le plus preuve de pragmatisme. Cet article, ancré dans le concret, permet de bousculer les idées préconçues sur les licences Creative Commons. Il permet de pousser la réflexion jusqu’au bout : et si la loi était en fait inadaptée à protéger/soutenir les créateurices ? Et si la dématérialisation des productions de l’esprit reléguait la législation de la propriété intellectuelle à des pratiques d’un autre âge, d’une autre économie…? Tant de pragmatisme, ça laisse rêveur… non ?
La situation est grave et tout le monde n’en a pas forcément pris conscience. Pour lutter contre le piratage et préserver les intérêts d’une infime minorité d’artistes mais surtout les leurs, l’industrie culturelle est prête à tout. Tout c’est-à-dire ici profondément altérer l’Internet que nous connaissons ou avons connu. C’est ce que nous rappelle ici l’écrivain Cory Doctorow qui avoue lui-même faire partie de cette infime minorité, ce dont il n’en a cure si cela doit se faire au détriment du citoyen que nous sommes tous…
En conflit avec Hotfile, Warner Bros demande à la justice américaine de reconnaître que le studio a le droit de demander aveuglément le retrait de milliers de contenus, quitte à supprimer au passage des contenus sur lesquels il n'a aucun droit. Pour le producteur de films, l'efficacité de la lutte contre le piratage doit primer sur la parfaite sincérité du procédé.
|
La plateforme de photographie, réputée pour son zèle en matière de copyright, est suspectée d'avoir voulu revendre illégalement les images d'une agence de presse.
Getty Images traverse une mauvaise passe ces derniers temps. Une semaine après la plainte de la photographe Carol Highsmith, qui ne pouvait pas publier ses propres photos libres de droits, de nouvelles accusations liées au copyright visent à nouveau l’agence de photographie.
Cette fois, c’est l’agence de photojournalisme Zuma Press qui est à la manœuvre. Elle a déposé lundi des poursuites pour violation de copyright et défaut de licence sur très exactement 47 048 photos. En effet, Gatty Images est suspecté d’avoir voulu revendre les images sportives de l’agence sans son autorisation.
La semaine dernière, un événement navrant s’est produit, impliquant une nouvelle fois la société Moulinsart, qui s’est déjà illustrée à de nombreuses reprises à cause de la manière agressive dont elle gère les droits sur l’oeuvre d’Hergé. Depuis plus d’un an sur la page Facebook « Un faux graphiste« , un jeune bruxellois prénommé Gil régalait ses quelques 30 000 abonnés avec des détournements hilarants de planches tirées des albums de Tintin. Son « gimmick » consistait à reprendre des enchaînements de cases de la BD sans y toucher, en modifiant le texte des bulles pour placer les personnages d’Hergé dans des situations complètement décalées.
Alors que la sortie de Star Wars : Le réveil de la Force est imminente, Disney craint des spoilers qui viendraient gâcher la fête. Or, des photos d'une figurine vendue a priori trop tôt en disent beaucoup sur le destin d'un personnage. Disney a donc sorti l'arme du copyright pour tenter de les faire disparaître.
Dans le fameux sketch des Inconnus, on se souvient qu’il y avait le bon chasseur et le mauvais chasseur… mais qu’il était difficile de distinguer ce qui les différenciaient réellement ! En ce qui concerne les robocopyrights – ces systèmes automatisés de retrait de contenus mis en place sur des plateformes comme YouTube ou Dailymotion -, les choses risquent d’être différentes : il semblerait qu’on soit désormais en mesure de faire la différence entre les bons et les mauvais, suite à une importante décision de justice rendue cette semaine aux États-Unis à propos de la portée du Fair Use (Usage équitable).
Starting from Monday, September 29th, the nominees intended to constitute the future College of Claude Junker's Commission, will face a full parliamentary hearing, in view of the definitive confirmation of their appointment. La Quadrature du Net invites any Members of the European Parliament to question the candidates on their views and positions on the protection of European citizens' digital rights. In particular, the set of questions, that La Quadrature du Net provides, covers a broad range of issues that are essential to guarantee people's rights to access a free and open Internet, as well as to protect their personal data. Most of the questions directly relate to the portfolio of Andrus Ansip, Vice-President for Digital Single Market. Other Commissioners designate, whose Directorate-General is competent for specific issues, are indicated below.
Disney s’est souvent distingué par le passé par sa conception particulièrement maximaliste de la propriété intellectuelle.
La Commission européenne a lancé une nouvelle consultation sur le droit d'auteur en décembre dernier : Internet reste, en 2014, un enjeu central pour la diffusion des œuvres culturelles. La suprématie commerciale des “firmes culturelles“ n'est pourtant pas totalement acquise en termes de propriété intellectuelle. Pour preuve, les différents modèles de droits de propriété intellectuelle “libres“ qui prospèrent sur la toile. Quel futur modèle pour la culture européenne sur Internet ?
Le renforcement des contrôles et des moyens de surveillance, autour du respect des copyrights, doit, à mon sens, entraîner la multiplication de contenus techniques et culturels sous des licences dites libres, globales ou ouvertes.
π= 3.14159 26535 89793 23846, etc. On a déjà beaucoup écrit sur le rôle et la symbolique du nombre Pi, que ce soit dans l'histoire des mathématiques, de la philosophie ou encore de l'art. La fascin...
Aujourd’hui, 26 avril 2013, c’est la journée mondiale de la propriété intellectuelle. Un jour idéal pour relancer les débats sur le sujet. On appelle propriété intellectuelle l’ensemble des mécanismes qui régissent l’exploitation des œuvres immatérielles, issues de l’intellect. Cela concerne les œuvres culturelles bien sûr, mais aussi les inventions, les procédés industriels, le design de produit et même les logiciels informatiques.
SoundCloud, le service de partage de sons et de musiques en streaming, avait jusqu’à présent l’image d’une plateforme plutôt ouverte et innovante, avec son API largement disponible et la possibilité qu’il donnait à ses utilisateurs d’utiliser les licences Creative Commons. Cette image a cependant été sévèrement écornée ces derniers jours. Un changement de politique dans l’application du droit d’auteur a en effet provoqué une réaction virulente de la part des usagers.
L'EFF veut mettre les trolls en cage. Mais pas n'importe lesquels. L'organisation cible tout particulièrement les trolls de brevet (patent trolls), qui s'attaquent aux startups et aux PME pour leur extorquer de l'argent en les menaçant de les poursuivre en justice au nom de leur supposée propriété industrielle bafouée. L'EFF réclame l'intervention de la FTC.
|