Et si l'on pouvait, en quelques clics, faire disparaître d'Internet poèmes maladroits, photos osées, messages un peu idiots et autres contenus que l'on a publiés en ligne à l'adolescence, le plus souvent sans avoir conscience qu'ils resteraient accessibles des années plus tard ? C'est l'une des propositions qui se dégage du volumineux rapport présenté, mardi 20 novembre, par la Défenseure des enfants (qui dépend maintenant du Défenseur des droits), à l'occasion de la Journée mondiale des droits de l'enfant.