Le livre prend sa revanche. Après des années à se faire dire par les esprits obtus qu’il était dangereux en raison de la diversité des idées transportées dans ses pages, le livre, dans sa version numérique, serait-il en train de le devenir vraiment en menaçant désormais non pas les adeptes de la vacuité qu’il a toujours effrayés, mais plutôt les lecteurs eux-mêmes ?