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Have you ever thought of the Toy Story films as sci fi? I think they have many interesting themes that could apply to the Internet of Things. When people start bringing more “smart” devices to their homes, they will create a setting for Toy Story behaviours, such as addictive personalities and leadership conflicts.
Il sera peut-être une nouvelle fois traité de Cassandre et de parano, mais Bruce Schneier enfonce le clou !
Sensible aux signaux qu’envoient de façon croissante les faits divers mettant en cause les objets connectés — le fameux Internet des objets pour lequel « se mobilise » (sic) la grande distribution avec la French Tech — ce spécialiste de la sécurité informatique qui a rejoint récemment le comité directeur du projet Tor veut montrer que les risques désormais ne concernent plus seulement la vie numérique mais bien, directement ou non, la vie réelle. Il insiste aussi une fois encore sur les limites de la technologie et la nécessité d’un volontarisme politique.
Dans les secteurs de l'automobile, de la santé et de l'industrie, les entreprises mettent à profit l'Internet des objets (IoT) dans des contextes applicatifs sensibles qui deviennent des cibles de plus en plus attrayantes pour les pirates. Des incidents de sécurité ont d'ores et déjà été observés dans le monde réel, et les entreprises doivent adopter des mesures rapides et pragmatiques pour lutter contre les problèmes de sécurité. Voici 5 bonnes pratiques pour sécuriser les communications entre objets connectés.
Les objets connectés qui s’installent progressivement au sein de nos quotidiens ne sont pas sans failles. Voitures, armes, drones… Derniers dispositifs à être montrés du doigt : les moniteurs de bébés. Un cabinet d’analyse de données basé à Boston a recensé de nombreux appareils mal sécurisés, et démontré que les pirates surfent eux aussi de plus en plus sur la vague de l’Internet of Things.
Google sera un acteur de l'Internet des objets. L'entreprise américaine a profité de sa conférence annuelle pour dévoiler ses projets : il y aura un système
Comme nous l’avons souvent abordé dans ce blog, par delà les wearables et les objets connectés trop souvent simples gadgets pour hipsters (et la plupart d’entre nous, y compris votre serviteur, aimons ces gadgets), l’internet des objets porte la promesse d’impacts sociétaux importants. Citons par exemple les domaines de la santé ou de l’écologie.
La cryptologie a connu son heure de gloire pendant la seconde guerre mondiale et la guerre froide. Le but : décrypter les messages de l’ennemi.
Pour la key note de Radware aux Assises de la sécurité, son vice-président en charge de la sécurité, Carl Herberger, est venu présenter les nouveaux enjeux de la cyber-guerre et notamment les problèmes posés par les objets connectés.
Des chercheurs en sécurité de HP viennent de sortir une petite étude sur dix objets connectés populaires. Le résultat est assez effarant, les fabricants de ses produits ne semblent pas avoir appris de l’histoire du PC ces vingt dernières années.
Via Hubert MESSMER
Avec près de 80 milliards d'objets connectés d'ici 2020, les enjeux autour de l'analyse et de la sécurisation des données en masse sont colossaux. Si les initiatives en matière d'Internet des objets ne manquent pas en France, le temps presse pour ne pas voir les Chinois ou les Américains faire la course en tête.
En l'espace de quelques années, Internet a permis le développement d'un système économique alternatif et a posé les bases d'une révolte anticapitaliste. C'est l'idée défendue par Jérémy Rifkin dans une tribune publiée le 15 mars dernier dans le journal The New York Times.
IoT et Shopping L’internet des objets sera multiple ou ne sera pas. Ce n’est pas la première fois que ces lignes sont écrites dans ce blog, ni la dernière.
Dans une tribune du MIT Technology Review, Steve Mann, professeur à l'Université de Toronto, s’exprime sur ces accessoires, vêtements et objets connectés qui débarquent sur notre corps et imagine un droit à leurs porteurs.
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Cette semaine, c'était l'effervescence à Paris pour les acteurs de l'Internet des Objets (IoT) avec à la fois l'IoTWorld e
Un algorithme est capable de lire les mouvements de votre poignet grâce aux montres connectées et ainsi de déterminer vos données.
Orange se lance dans l'Internet des objets. L'opérateur annonce le déploiement, à partir du premier trimestre 2016, d'un réseau bas débit fondé sur la technologie LoRa.
Entre 26 et 50 milliards d’objets connectés d’ici 2020 : une opportunité économique perçue par la France qui talonne de près les Etats-Unis dans ce secteur porteur, selon le Financial Times.
Caméra de surveillance dotée d’outils de reconnaissance faciale, brosse à dents connectée, téléphone intégré au réfrigérateur… Les dernières semaines ont été marquées par nombre d’objets connectés made in France et caractéristiques d’une forte capacité d’innovation.
Ce dynamisme français est reconnu et durable : au CES de las Vegas, rendez-vous annuel de l’innovation internationale, 100 des 350 entreprises non américaines présentes étaient… françaises.
Tout comme Huawei, qui a dévoilé jeudi ses projets – dont un système d'exploitation, LiteOS – pour l'Internet des objets, Google devrait à son tour annoncer une plateforme pour connecter de nouveaux appareils au réseau. Selon le magazine Fortune, la firme de Mountain View va profiter de sa conférence qui aura lieu à la fin du mois pour abattre ses cartes.
Pour l'instant, les informations concernant ce nouveau système d'exploitation sont rares.
Celui-ci serait intitulé Brillo et ne serait pas développé par les équipes de Nest, malgré leur spécialisation dans les objets connectés (thermostats et détecteurs de fumée). Bien que l'article de Fortune ne le précise pas, Brillo devrait logiquement être dérivé d'Android (à l'image d'Android Wear pour les accessoires high tech et Android Auto pour les voitures).
La nouvelle année, c’est la saison du vin chaud, des réveillons et des gueules de bois, des cadeaux et des marrons chauds qui crépitent dans la cheminée (sauf désormais pour les franciliens). C’est aussi les Top 10, les prévisions et les prédictions, les résumés des faits marquants et les bonnes résolutions en tout genre dont la plupart ne sera pas tenue. Nous nous plierons, bien entendu et bien volontiers, pour la cinquième année consécutive, à cet exercice – voir en fin d’article les précédentes éditions.
La police Européenne, Europol, s’inquiète dans son dernier rapport d’une probable possibilité de meurtre à partir d’Internet.
Le nouveau rapport annuel d’Europol, la police Européenne, vient d’être mis en ligne. Ce dernier revient sur une année d’expertise liée au cybercrime. Pour l’agence européenne, les 2,5 milliards d’internautes et les 10 milliards d’objets connectés vont finir pour se confronter, un jour ou l’autre, au crime organisé.
L’Internet of Everything pourrait même créer des crimes que nous pourrions pu penser comme étant de la science-fiction : tuer en mode 2.0. Le chantage, l’extorsion et le vol de données, Europol y voit aussi une évolution inquiétante. Il suffit de lire zataz.com depuis 19 ans pour se rendre compte de cette malsaine évolution. Europol, qui a repris un rapport américain réalisé par un éditeur d’antivirus, annonce clairement que nous serions aux portes des premiers meurtres via l’Internet et les objets connectés. Les implantations cardiaques sont montrées du doigt, surtout celles avec une connexion sans fil. Une option afin de régler le matériel à distance.
Les autorités européennes de protection des données ont adopté les 16 et 17 septembre 2014 un avis sur l'Internet des objets. Face au développement rapide des " objets intelligents " dans la vie quotidienne, le G29 souhaite contribuer à l'application uniforme du cadre réglementaire européen. Dans son avis, il propose aux acteurs des recommandations pratiques leur permettant de se conformer à la réglementation.
Le web 2.0 est dépassé depuis longtemps. Les objets connectés sont l'avenir d'internet. Tout chose est appelée à être reliée en réseau pour produire des données. Electroménager, énergie, mobilier urbain... Internet est sur le point de fusionner avec le monde réel. C'est l'Internet des objets. L'idée n'est pas nouvelle, mais la baisse des coûts en fait l'un des enjeux de l'économie numérique de demain. « Smart » serait déjà le mot de l'année 2014. Aujourd'hui tout est smart, tout est intelligent. Le monde pourrait compter 9 milliards d'objets connectés en 2018, soit autant que tous les smartphones, smart TV, tablettes et ordinateurs réunis. Outre la manne financière que peut représenter ce business, l'internet des objets peuvent dessiner un certain nombre d'améliorations sociales et politiques. Mais si l’on n’y prend pas garde, l’intelligence connectée peut aussi impliquer une surveillance et une bêtise généralisée.
Via mveillealadoc
Un titre volontairement provocateur mais si on y réfléchit bien, ce concept et surtout son application sont bien en passe de disparaitre avec l’arrivée en masse des objets connectés et le déploiement de l’internet des objets sous toutes ses formes.
Thibault Henneton, de l’excellente (on ne le dira jamais assez) émission, Place de la Toile, de Xavier de la Porte sur France Culture, le rappelait dans une de ses chroniques récentes : dans le film Matrix, que cuisine l’oracle lorsque Néo vient lui rendre visite ? Des cookies ! Ce ne peut être un hasard, plutôt un clin d’œil à la toute puissance de ces petits bouts de logiciels qui envahissent nos disques durs.
A peine le temps de se familiariser avec l’Internet des Objets (Internet of Things, IoT) qu’on parle déjà de l’Internet of Everything (IoE). Quelle est la différence entre les deux concepts ? En quoi cela aura-t-il un impact sur notre avenir ?
On connaissait déjà l’Internet des Objets (Internet of Things), qui se résume à tous ces produits (gadgets ?) dits connectés, et suivis par des applications mobiles : montres, pèse-personnes, bracelets, brosses à dent, réfrigérateurs, etc. L’Internet of Everything est un concept difficilement traduisible en français (« L’internet de Tout »), mais il signifie qu’il va bien au-delà des « Things » (objets connectés). Il s’agit en fait d’une expression inventée et promue récemment par un rapport de Cisco, un des leaders mondiaux en infrastructure réseau. Si l’on fait abstraction de ce coup de com’, l’Internet of Everything (IoE pour les intimes) sera probablement la réalité de demain : d’après cette infographie Cisco, l’Internet of Everything comprend non seulement l’Internet des Objets, mais également les données, les processus… Et les gens (via leurs smartphones et leurs réseaux sociaux) !
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