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La banque de sperme de Londres souhaite faciliter les échanges d'ovocytes, tout en conservant l'intimité de chacun. Comment ? En fournissant un moyen dématérialisé de choisir un donneur de sperme pour une fécondation in vitro.
Il est désormais possible d'établir les probabilités de contracter un cancer du sein grâce à une intelligence artificielle. Et les résultats sont non seulement rapides, mais aussi corrects dans 99 % des cas. Plus d'explications avec Wired.
Après les taxis, les hôtels, les médecins ? Notés par leurs patients, assistés par les algorithmes, les praticiens de demain pourraient intégrer pleinement le numérique. Pour une meilleure relation avec les patients ?
Simplification administrative, transparence de la connaissance, suivi en temps réel, réduction des coûts : quatre bonnes raisons pour la médecine de passer à l’ère de l’ubérisation, selon Jean-François Goglin, Conseiller national SIS à la FEHAP et membre du groupe Numérique et Santé de l'Académie de Médecine. Dans ce cas synonyme de désintermédiation, cette notion désormais fourre-tout pourrait pourtant aider, entre autres, à établir une meilleure passerelle entre les médecins.
Nous souhaitions compléter notre enquête dans le domaine de la santé connectée et plus précisément du côté des médecins. Cette fois-ci nous nous sommes donc intéressés à la relation entre un médecin et son patient. Une relation possiblement connectée ?
Samsung a dévoilé son projet Simband, une plateforme ouverte pour la conception d'appareils à porter ("wearable devices") destinés à mesurer tout un ensemble de données médicales en temps réel. Le tout repose sur SAMI, une plateforme de Big Data dans laquelle Samsung concentrera les données médicales des utilisateurs, pour les exploiter ou les vendre à des partenaires commerciaux.
L'équipement ophtalmologique est bien loin d'être bon marché, sans compter le poids et la difficulté du transport. Que faire dans des situations d'urgence ou dans une zone mal équipée ? Des chercheurs de l'université de Stanford ont mis au point deux accessoires étonnants qui mettent à profit la polyvalence de l'iPhone ou d'un smartphone de manière générale : le capteur photo est suffisant pour offrir une bonne image de l'oeil, et la connexion réseau permet d'envoyer la photo à un spécialiste afin d'obtenir un diagnostic rapide. Restait à inventer les outils permettant des prises de vue de l'oeil efficaces et aussi précises que possible.
Grâce au Cloud, la télémédecine bénéficie d’une forte croissance. Les avantages du Cloud, comme de la télémédecine ne sont plus à démontrer et le premier répond parfaitement aux impératifs de fonctionnement du second.
Acteur majeur de la médecine personnalisée, IBM imagine que d'ici cinq ans, les médecins auront accès grâce au cloud à une analyse de l'ADN et du traitement adapté pour chaque patient en quelques minutes seulement.
Aux Etats-Unis, médecins et personnel hospitalier partagent des photos embarrassantes et des informations sur leurs patients.
Entre quantified-self, open data et réinvention de la relation médecin/patient, les outils numériques et les services qui se développent sur Internet changent progressivement le domaine de la santé. Afin de prendre en compte ces mutations, Hospitalia nous rapporte que l’Académie de médecine vient de créer un Conseil de numérique de santé.
Des avatars permettront bientôt de dupliquer nos données médicales et de procéder à des tests de traitement sans risques. Explications.
Le Conseil national de l'ordre des pharmaciens a transmis à l'office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique une liste de onze pharmacies en ligne suspectées de fraude. Une plainte a en outre été déposée.
Bon marché, robuste et simple d’utilisation, la machine d’anesthésie universelle présente l’avantage de pouvoir fonctionner en cas de coupure d’électricité. Chaque année dans le monde, 35 millions d’opérations chirurgicales sont tentées sans anesthésie sûre. Pour parer aux risques encourus, une entreprise sociale américaine a développé la Machine d’Anesthésie Universelle. Bon marché, robuste et simple d’utilisation, l’appareil présente l’énorme avantage de pouvoir fonctionner en cas de coupure d’électricité. Un désagrément qui survient plus d’une fois tous les deux jours dans les hôpitaux des pays en développement.
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Des scientifiques travaillent sur un outil impliquant de la réalité virtuelle. L'idée ? Permettre de détecter bien plus tôt les premiers signes d'un trouble neurologique afin d'améliorer la prise en charge du patient.
Depuis plusieurs mois, la réalité virtuelle fait surtout parler d’elle à travers le prisme du jeu vidéo. Il faut dire que de très grosses entreprises en lien avec cette industrie ont investi ce créneau et ne lésinent pas sur la promotion de leur périphérique, qu’il s’agisse de Sony et de son PlayStation VR, de Samsung et son Gear VR, de HTC avec le Vive ou bien Oculus et son casque Rift.
Mais la réalité virtuelle a aussi des perspectives très intéressantes dans le domaine médical.
Un réglage standard pour le scanner permettant de réaliser des images par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) était en fait un assez mauvais réglage, avec une marge d'erreur bien plus grande que prévue.
Des applications de « téléconseil médical » commencent à fleurir et proposent à leurs utilisateurs de payer pour des conseils dispensés à distance par des médecins. Enquête sur ces services à l'éthique douteuse.
C’est en surfant sur Facebook et une page dédiée à des expatriés français à New-York, qu’une publication attire mon attention. Partant du postulat que se faire soigner aux États-Unis est une ruine, l’auteur de la publication explique qu’il existe désormais une application, nommée Feeli, grâce à laquelle le malade peut converser avec un médecin français en restant de l’autre côté de l’atlantique et ainsi lui parler de ses maux et même se faire scanner une ordonnance à distance, le tout grâce à une messagerie instantanée.
Colère des organismes complémentaires santé et des associations de patients : ils jugent les choix du gouvernement sur l'accès aux données de santé, en contradiction avec la totale ouverture pronée par la concertation. Les pouvoirs publics et l'assurance maladie n'auraient pas envie de faire la transparence sur le système de santé français.
Via Intelligence Economique, Investigations Numériques et Veille Informationnelle
Des scientifiques du MIT et de l’Université de Vienne sont parvenus à modéliser en temps réel l’activité neuronale d’un ver de terre. Si la nouvelle peut paraître anecdotique, elle constitue pourtant une étape décisive dans l’observation et la compréhension des activités cérébrales humaines, et ses promesses pour la neurologie comme pour l’informatique sont inouïes, rapporte un article de Motherboard.
La Sécurité sociale britannique a donné son blanc-seing à un cabinet privé pour utiliser les services de cloud de Google pour traiter les données issues de millions d'hospitalisations.
Avec leurs gadgets électroniques et leurs capacités de calculs dans d'immenses bases de données, Google, Apple ou encore IBM pourraient devenir les acteurs incontournables de la révolution médicale apportée par la médecine personnalisée. Avec de nombreuses problématiques inédites, à la fois éthiques, économiques ou sociales. Numerama fait le point.
Le 15 octobre, Sup'Biotech, en partenariat avec Cancer Campus, Biofutur, Interbiotech et l'association des anciens, DSB, a organisé une conférence interprofessionnelle à l'Institut mutualiste Montsouris (Paris 14e). En présence des étudiants de l'école, des professionnels du secteur public et privé ont échangé sur l'augmentation massive des informations de santé qui permettent de faire progresser la recherche, mais posent des questions de confidentialité. Que sont ces données ? Qui peut les consulter ? Les utiliser ? Quels sont les enjeux de leurs nouvelles mises à disposition ?
Dans le scandale du Médiator, l'assurance-maladie est contrainte à communiquer ses données, ce qui favorisera l'information citoyenne.
Selon une récente étude, 91% des professionnels de la santé estiment que le recueil de données d'un patient et son partage avec un professionnel permettrait d'optimiser la prise en charge des patients.
Suite à la plainte visant onze sites de pharmacie en ligne suspectés de vendre des médicaments contrefaits, le ministère de la santé a invité les clients à se montrer prudent lors de l'examen du site et à passer, autant que possible, par la liste officielle des officines autorisées à commercer en ligne. Mais cela pourrait ne pas être suffisant, obligeant alors la classe politique à envisager une approche plus directe, c'est-à-dire le blocage des sites.
Publié dimanche, l'arrêté ministériel sur les bonnes pratiques à suivre par les pharmacies en ligne privent ces dernières de toute marge de manoeuvre sur le contenu ou l'organisation du site. Les lignes de conduite sont très strictes, pour limiter au maximum le risque de transformer la pharmacie en activité purement commerciale.
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