Pourquoi le refus d’Apple de traiter avec les hackeurs pourrait bénéficier au FBI | Libertés Numériques | Scoop.it
Le 21 mars, le FBI a annoncé qu’il n’aurait peut-être pas besoin d’Apple pour déverrouiller l’iPhone du terroriste présumé de San Bernardino tué par la police le 2 décembre 2015, car une « tierce partie » lui avait proposé une méthode pour réaliser cet exploit. L’identité de ce mystérieux fournisseur est restée secrète, mais il pourrait s’agir d’une société spécialisée dans la découverte et la vente de « zero days » – des vulnérabilités originales, encore inconnues, qui permettent de pirater un logiciel à coup sûr, car il n’existe pas encore de parade.