Quand les pirates Chinois se nomment en fait iSQL (Injection SQL) | Libertés Numériques | Scoop.it

Piratage du New-York Times, Wall Street Journal et Twitter. Les pirates Chinois montrés du doigt. ZATAZ.COM va vous montrer la main qui pointe les vilains. Ah les pirates Chinois ! Les seuls pirates, à en croire l'Oncle Sam, qui seraient capable de pirater le monde... avec de gros sabot de bois. Des "trucs" tellement bruyants qu'il suffit de regarder les logs pour se retrouver derrière la grande muraille de Chine. Bref, c'est ce que semble expliquer l'une des  filiales de Rupert Murdock, le Wall Street Journal. Des pirates informatiques ont, depuis quatre moins, tenté de voler logins et mots de passe des journalistes du quotidien économique, et de son frère d'arme, Le New York Times. Ah oui, petit détail de taille, l'unique source de ce ramdam est Down Jones, filiale, elle aussi de la grande famille media de Rubert Murdock. Le tout renforcé et orchestré par... Symantec ! Bref, comme le disent certains... Chinois "Chaque goutte de sueur qui coulera en tant de paix sera une goutte de sang en moins en tant de guerre." et c'est bien ce que tente de faire l'US Department of Homeland qui cherche à faire gonfler son enveloppe "sécurité numérique" auprès de la Maison Blanche.