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On ne présente plus Gitlab aux barbus qui font du développement… l’alternative la plus populaire à github pour gérer le versionnement de son code via un site web, que nous utilisons pour… Framagit (surprise !).
Notre tableur en ligne, basé sur le logiciel libre Ethercalc, est déjà largement utilisé… au point d’être parfois victime de son succès ! C’est bien connu : plus un logiciel (ou un service) a d’utilisateurs, plus ils souhaitent, suggèrent et apportent des améliorations et aident ainsi le logiciel à devenir meilleur…
Alors : prêt-e-s pour les améliorations apportées à ce millésime 2016 ? C’est parti !
:Si vous voulez vous monter un petit serveur Git avec interface web, en 2 secondes 12, c'est possible avec Gogs.
Développé en Go, Gogs (pour Go Git Service) tourne sous OSX, Linux, Windows, ARM (Raspberry Pi, Synology avec l'aide de Docker...etc) et nécessite très peu de choses.
Si vous utilisez le service Trello pour gérer vos projets et partager les tâches grâce à la méthode Kanban, sachez qu'il existe un clone du service que vous pouvez héberger vous-même. Ça s'appelle Wekan (notez le jeu de mots ;-)) et ça va vous permettre de vous organiser, soit à titre personnel, soit avec vos amis ou collègues. D'un seul coup d'oeil, vous verrez l'état actuel de vos projets et pourrez vous concentrer uniquement sur les tâches qui importent le plus.
Si avec vos collaborateurs, vous utilisez Slack pour partager toute votre stratégie d'entreprise et que vous cherchez une solution autohébergée pour éviter que vos petits secrets ne soient hébergés ailleurs que chez vous, voici Mattermost.
Mattermost est un clone de Slack, open source, sous licence MIT, qui permet d'éviter de s'enfermer dans un modèle SaaS. Basé sur Docker, cet outil est compatible avec Slack donc la transition de vos utilisateurs pourra se faire en douceur. De plus l'install se fait les doigts dans le nez.
Nous aimons les beaux outils qui permettent de s’organiser pour collaborer… mais trop souvent, ce sont des services qui en profitent pour en apprendre beaucoup sur nous. Beaucoup plus en tout cas que ce que nous voudrions leur confier ! Voici un nouvel exemple d’alternative libre qui vous permettra de maîtriser vos projets sans êtres pistés.
Ne plus dépendre de Gmail, Yahoo ou Outlook.com, ne plus avoir toutes ses conversations stockées et centralisées sur les serveurs des géants du web étasunien… C’est un peu le Graal des Dupuis-Morizeau.
Mais comment faire, lorsqu’on a peu de connaissances en informatique, pour avoir une boite email vraiment indépendante et pouvoir chiffrer ses échanges ?
Les barbu-e-s du logiciel libre le savent, la solution la plus sensée réside dans l’auto-hébergement, et c’est souvent complexe à mettre en place.
Mais des solutions innovantes, à base de logiciel et de matériel libre, naissent pour aider notre famille témoin à reprendre le contrôle de leurs emails sans se fouler le clavier.
Aujourd’hui, nous interrogeons Pierre Parent, co fondateur de Own-Mailbox : un petit boîtier qui pourrait bien être une solution simple, respectueuse et efficace pour tous les Dupuis-Morizeau qui nous entourent.
Tor2web est un projet qui permet aux utilisateurs d’accéder aux Services Cachés / Hidden Services / adresses en .Onion sans utiliser le Tor Browser. Ce projet a été initié par Aaron Swartz and Virgil Griffith. Site officiel https://tor2web.org
Contrairement aux extensions top-level domains comme un .com, .org ou .net, les URL des services cachés se terminent par .onion et sont uniquement accessibles depuis Tor.
Tor2Web agit comme un proxy spécialisé ou une sorte d’intermédiaire entre les services cachés et les utilisateurs en rendant visible et accessibles ces services aux personnes qui sont pas connectés à Tor. Pour ce faire, un utilisateur prend l’URL d’un service caché et remplace .onion avec .tor2web.org. Exemple avec Le blog de Stéphane Borztmeyer dont l’url en .onion est http://7j3ncmar4jm2r3e7.onion. On y accédera via Tor2Web depuis l’URL suivante http://7j3ncmar4jm2r3e7.tor2web.org.
Vous vous souvenez de Cozy Cloud, cette solution libre destinée à l'autohébergement ? Et bien depuis que j'en ai parlé en 2013, il y a eu pas mal d'évolutions... Et hier est sortie la version 2.0 baptisée Oliver, en hommage à John Oliver, le présentateur américain, avec bien évidemment son lot de nouveauté. Tout d'abord > Lire la suite
Quitter les GAFAM, du moins s’efforcer de le faire progressivement comme on s’efforce de renoncer peu à peu à une dépendance, ce n’est pas une mince affaire, tous ceux qui comme Framasoft ont entamé ce processus en savent quelque chose. La tentation est grande pour ceux qui ne disposent pas des compétences techniques suffisantes de renoncer ou bien de s’arrêter à mi-chemin. Nous ne sommes pas de ceux qui leur jetteront la pierre, car nous cherchons plutôt à inciter et accompagner, tel est l’esprit de notre campagne Dégooglisons Internet. Le cas de Dan Gillmor, dont nous traduisons ci-dessous les propos, sans être original, est intéressant parce qu’il met honnêtement sa propre expérience en perspective. Chroniqueur des technologies numériques depuis longtemps déjà, il a vu passer différentes modes ou tendances mais il a évolué, parfois à contre-courant, jusqu’au point où il explique aujourd’hui faire ses adieux à des produits et des entreprises qui brident beaucoup trop sa liberté. Il nous invite à le suivre sur cette voie, en montrant quelle part de confort personnel nous freine encore.
La chasse au site de torrents est ouverte depuis longtemps... Certains disparaissent, d'autres naissent et d'autres encore ressuscitent. On attend d'ailleurs la résurrection imminente de The Pirate Bay...
Le problème, c'est qu'à chaque disparition, c'est une certaine quantité de données qui risque à chaque fois de disparaitre définitivement. C'est pour cette raison qu'est né BitCannon.
Ca donne des statistiques basiques : types de navigateurs, origine géographique des visiteurs, sites web de provenance, titre des pages visitées, heure des visites, etc… Vous avez un historique de toutes ces statistiques au jour le jour et vous pouvez les suivre en temps réel.
Le compteur de visiteurs m’a l’air fiable, il ne compte pas les robots et ne surestime donc pas les chiffres. J’ai testé des plugins comme Statpress, SlimStat, Post view stats et Piwik est celui qui me donne le moins de visiteurs.
Il ne ralentit pas beaucoup les visites ou l’utilisation de WordPress contrairement aux plugins sus-cités.
Vous êtes débrouillard avec la technologie et vous souhaitez avoir un VPN no-logs à bas coût sans devoir dépendre d’un fournisseurs externe ? Alors suivez ce tutoriel, Streisand est fait pour vous !
Streisand est un outil ayant pour origine l’effet streisand, qui permet en une simple ligne de commande de déployer plusieurs serveurs L2TP/IPsec, OpenSSH, OpenVPN, Shadowsocks, Stunnel, et passerelle TOR dans le cloud (Amazon EC2, DigitalOcean, Linode, et Rackspace) ou sur n’importe quelle Debian 7.
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Reposant sur le réseau Bittorrent et plus particulièrement sur la techno DHT (Basé sur une idée d'extension du protocole permettant le support des flux RSS), PeerTweet est un clone de Twitter entièrement décentralisé.
Pour chaque utilisateur, il génère un hash unique (l'équivalent de votre nom d'utilisateur) et une clé privée qui vous permet d'envoyer des messages ou de réaliser différentes actions sous ce nom (ce hash) unique.
Ainsi, vous pouvez suivre d'autres personnes qui vous auraient envoyée leur hash et bien sûr poster, retweeter, mettre en favoris des messages... Exactement comme sur Twitter. Le plus beau là-dedans, c'est que c'est impossible à censurer.
"Si vous cherchez un clone d'Evernote qui soit léger et chiffré de bout en bout, j'ai ce qu'il vous faut. Ça s'appelle Turtl et c'est dispo sous OSX, Linux, Android, Windows et bientôt iOS.
En gros, un LastPass à autohéberger et utilisable en ligne de commande. Pas d'interface sexy, mais une gestion de groupe, de services et d'utilisateurs multiples, ainsi qu'une commande qui permet via un terminal de s'authentifier facilement.
Diaspora* est un logiciel permettant de déployer une application web de réseautage social offrant des fonctionnalités similaires à Facebook.
L'objectif est de proposer un système décentralisé et sécurisé, permettant de préserver la vie privée des participants et de faire communiquer différentes instances de Diaspora installées sur différents serveurs à travers le monde. Diaspora est un logiciel libre distribué sous licence AGPL.
We have just launched a crowdfunding campaign to develop a new frontend to Libervia, and port it to Android (in a native application!). http://www.arizuka.com/en/projects/libervia (subtitles available in many languages).
Bkmrx, hormis être un nom difficile à retenir, est une solution de partage de bookmark collaborative. On peut facilement trouver une utilité en entreprise par exemple afin de faire bénéficier à chacun sa veille, sans avoir à innonder ses collègues de mails. Réalisé en Perl, avec le framework Mojolicious, Twitter Bootstrap, et Elasticsearch.
Parmi les divers services en ligne que nous proposons, il en est un plus… « particulier » que les autres : Framadate. On pourrait croire qu’un simple service de sondages et d’organisations de rendez-vous ferait figure d’outsider face à un tableur, un réseau social ou un service d’hébergement d’images chiffré et libre. Mais en vérité, Framadate est le deuxième service le plus visité de la galaxie Framasoft, ce juste derrière les framapads.
En témoignent aussi les nombreuses attentes, réflexions et propositions d’améliorations que nous apportent les utilisateurs et utilisatrices de ce service. Régulièrement, via notre formulaire de contact ou depuis notre git, nous recevons ces attentes, suggestions et râleries (ben ça arrive, aussi, hein ^^) auxquelles nous nous efforçons de répondre.
Car Framadate est une exception : basé sur Studs (un logiciel créé par l’université de Strasbourg) il s’agit du seul code maintenu et développé par Framasoft (sans compter ce que font certains de nos membres de leur côté… n’est-ce pas, Luc ?). Framasoft n’a pas vocation à créer du code : d’autres le font très bien, et nous sommes bien plus à notre aise à mettre en valeur leurs travaux.
FeedBurner, un service gratuit de Google (et oui, encore eux), est très utilisé et apprécié par les blogueurs depuis de très nombreuses années. Alors pourquoi vouloir utiliser une alternative fiable ?
les habitués des anciennes solutions pour construire des sites adoreront se retrouver avec un service permettant de faire un peu ce qui se faisait avec Dreamweaver. les autres adoreront la possibilité de construire des sites ou des présentations en html5 sans aucune connaissance. Silex est un éditeur en ligne. il est utilisable gratuitement et sans aucune inscription en mode de démonstration avec possibilité toutefois de sauvegarder sont travail et de charger un travail en cours de réalisation.
C’est officiel : Google Code, qui permettait aux développeurs de déposer, partager, et collaborer sur du code logiciel (libre ou pas), va bientôt fermer ses portes.
Il va donc rejoindre le mémorial des projets sabordés par Google.
La raison la plus probable, c’est que GitHub (une plateforme concurrente) attire bien plus de développeurs, et donc de code, que Google Code. Non seulement grâce à une interface plus intuitive, mais aussi par une facilité bien plus grande pour les développeurs à collaborer ensemble (plus on est de fous, plus il y a de code produit).
D’ailleurs, Google ne s’en cache pas et propose, dans le courrier annonçant la clôture prochaine du service, un outil permettant de transférer votre projet logiciel de Google Code à GitHub.
La censure via les DNS est maintenant une réalité en France. Cette censure est inefficace et surtout facilement contournable. Il suffit de paramétrer un autre serveur DNS sur son ordinateur pour accéder aux sites bloqués.
Et en surfant un peu, j'ai constaté que le serveur DNS préféré des Français est celui de Google (8.8.8.8 et 8.8.4.4). Seulement voilà... Ca me dérange que tout le monde commence à utiliser les DNS de Google, car :
1/ Google utilise ces données pour mieux nous traquer et cibler sa publicité. 2/ Tout votre surf (en tout cas, le listing des sites que vous visitez) est maintenant en possession du gouvernement américain \o/.
Alors que faire ? J'ai cherché la solution la plus simple pour être autonome avec ses DNS et je l'ai trouvée !!! Il ne s'agit pas de la solution la plus propre du monde et les nazis du DNS vont sûrement me tomber sur le paletot, mais, peu importe, ça fonctionne. Même si vous êtes débutant complet que vous n'y comprenez pas grand chose, il suffit de suivre ce tuto et ce sera bon.
Soyons francs : quand un développeur se présente à nous en expliquant qu’il a pensé son premier projet pour le grand public, pour la famille Dupuis-Morizeau (notre sympathique famille-témoin de Normandie qui, doit-on le rappeler, a pris le relais de la famille Michu), et qu’en plus il a placé ce projet sous licence libre… on a envie de frapper des mains et sauter partout en débouchant le champomy… Ce qui est dangereux pour les ordinateurs qui nous entourent, alors on le fait pas.
Par contre, on a aussi envie d’en savoir plus sur ce projet, et de le partager sur le Framablog.
Rémi Pace a bien vu que, chez les Dupuis-Morizeau, créer une carte se résumait à une mauvaise capture d’écran de Google Maps et un coup de paint (avec traçage aléatoire à la souris) ou de toshopage mal cracké (mais là faut demander à la petite, parce que les autres ne maîtrisent pas).
Or, on a souvent besoin de cartes à imprimer, mettre sur un site web ou un flyer… Et ce géographe de Rennes a développé une solution simple, libre et documentée (avec de zolis tuto vidéos) pour aider les Dupuis-Morizeau à réaliser simplement et en toute liberté leurs itinéraires, tracés et autres chemins de rando…
Découvrons donc ABC-Map avec son créateur, Rémi Pace.
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