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Le Green Fablab de Valldaura en Espagne accueille du 27 juillet au 5 août Biology Zero. Pour Makery, Timothée Gosselin, du biohacklab la Myne à Lyon et l’un des dix participants de ce bootcamp intensif de découverte de la biologie DiY, tient son journal de bord.
Cherise Fong 02/05/16 : 'La troisième édition de la BHA, et la première en Asie, a lieu du 6 mars au 8 mai 2016, simultanément avec celle de la Waag Society d’Amsterdam, initiatrice du projet en 2015. Sur le modèle de la Fab Academy, la dizaine de participants à Tokyo suivent les cours en visio-conférence en temps réel et se rencontrent « en vrai » au moins une fois par semaine. Les futurs « biohack académiciens » apprennent à fabriquer des prototypes de machines qui leur serviront d’outils, à travailler avec les bactéries...
Via Serge Meunier, JP Fourcade
A Bordeaux, Poietis imprime des cellules vivantes. Brevets à l’appui, l’entreprise vient de lever 2,5 millions d’euros pour développer sa technologie guidée par laser d’impression en haute définition de tissus humains.
C’est sous influence française (cocorico !) qu’est né le premier biohackerspace chinois, Haoqimao, littéralement «chat curieux» selon Johann Recordon, chef de projet des conférences Lift qui dévoile l’information en guise de bilan du Lift China, en septembre 2014. Le porteur du projet, Tony Gu, est un entrepreneur de Shenzen qui a croisé à la rentrée Thomas Landrain, fondateur de la Paillasse, lors du Lift Makers Tour organisé lors de cette édition chinoise de Lift. Par ailleurs, « le premier biohackerspace de Shangaï devrait ouvrir en novembre », selon le co-fondateur du hackerspace XinCheJian et du lab Hacked Matter David Li.
La Paillasse est un biohackerspace, un laboratoire communautaire pour les biotechnologies citoyennes, qui vient d’emménager dans un nouveau local de 750m2 au 226 rue Saint Denis à Paris. La communauté de La Paillasse est composée d’amateurs d’origines très diverses ayant pour point commun une curiosité pour la biologie et les biotechnologies et une envie d’apprendre et de créer ensemble leur propres projets autour des sciences du vivant en y injectant leur compétences personnelles. Vous y rencontrerez, venant de toutes disciplines, desgeeks, des doctorants, des étudiants, des hackers, des designers, des artistes, des ingénieurs, des chercheurs, des sociologues, des philosophes… Le biohackerspace La Paillasse est le premier laboratoire moderne de biologie en France ouvert à tous.
Via Bernard BRUNET
Je suis membre de Akendewa, une ONG informatique et je côtoie la communauté des TICs en Côte d’Ivoire. Et je sais que nos collègues ont, pour la plupart, des ordinateurs personnels ou de service livrés avec comme système d’exploitation un Windows plus ou moins piraté; avec toutes les conséquences auxquelles ils s’exposent (virus, crash, ordinateurs-Zombie utilisés par des hackers pour leurs exploits, etc..). Il faut ajouter à cela l’illégalité dans laquelle la plupart se retrouve. De plus, à intervalle régulier, les logiciels propriétaires sont mis-à-jour et la migration à un coût élevé. Or, de tous temps, la communauté universitaire utilise un autre système d’exploitation, Unix qui requérait des connaissances en informatique.
Faire de la musique par la pensée, une idée fantasque ? C’est pourtant la trouvaille d'Eduardo Miranda, un compositeur qui vient de développer un système capable de réaliser des morceaux à partir de nos rêves musicaux. Un nouveau souffle pour le monde de la composition mêlant neuroscience et informatique que nous rapporte la BBC. C'est pour répondre à la fameuse peur de la page blanche, bien connue des compositeurs et romanciers, qu'Eduardo Miranda a proposé cette solution radicale : court-circuiter l'étape du stylo ou du clavier pour traduire les pensées directement en musique ! Le principe ? A l’aide d’un casque couvert d’électrodes et de fils électriques, un ordinateur étudie les différentes interprétations du porteur et génère un morceau à partir des signaux électriques émis.
Il s'agit en fait de capter les ondes dégagées par le cortex visuel de l'utilisateur produites lorsqu'il se concentre sur différents motifs et échantillons sonores décrits sur un écran. Ces signaux électriques sont alors retransmis directement à l’ordinateur qui les analyse et les traduit en une phrase musicale.
Le génie génétique se pratique aussi en hobby, dans des laboratoires communautaires et indépendants. Thomas Landrain, figure du mouvement «DIY bio» en France, a plaidé sa cause lors de la conférence Lift à Genève.
On savait l’imprimante 3D prête à révolutionner l’industrie (We Demain numéro 3). Avait-on pensé à la science et plus largement à la médecine? À 17 ans, un lycéen américain fabrique une prothèse de bras à partir d’une imprimante 3D pour seulement 250$. En Écosse, l’université Heriot-Watt prétend imprimer pour la première fois, les cellules souches embryonnaires humaines les plus achevées.
Medical Museion is hosting an open biology (or “biohacking”) laboratory and a series of hands-on public events from January-March 2013. The events are part of the European network, Studiolab, that provides a platform for creative projects that bridge divides between science, art and design.
Via Camille Bosqué
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Thomas Landrain est à la tête de La Paillasse, le biohacklab qui bouscule la recherche scientifique. Fondé en 2011 dans un squatt, le lab a migré depuis 2014 en plein cœur de Paris, tourne avec une dizaine de permanents, et lance des projets collaboratifs d’innovation ouverte. Interview.
MIT biological engineers have created a programming language that allows them to rapidly design complex, DNA-encoded circuits that give new functions to living cells.
Using this language, anyone can write a program for the function they want, such as detecting and responding to certain environmental conditions. They can then generate a DNA sequence that will achieve it.
“It is literally a programming language for bacteria,” says Christopher Voigt, an MIT professor of biological engineering. “You use a text-based language, just like you’re programming a computer. Then you take that text and you compile it and it turns it into a DNA sequence that you put into the cell, and the circuit runs inside the cell.”
Les Laboratoires Pierre Fabre lancent Nature Open Library, un programme d'Open Innovation unique au monde afin de partager le patrimoine végétal et l'expertise de la chaîne de valeur phyto-industrielle. Le lancement de Nature Open Library est destiné à partager leur expertise en recherche, développement et industrialisation des actifs végétaux avec des acteurs privés et publics porteurs de projets innovants. Dans le cadre de ce programme, les Laboratoires proposent un accès à leur échantillothèque de plantes et à leurs extraits - l'une des plus importantes collections privées au monde - avec plus de 15 000 échantillons répertoriés de 5 700 espèces, dont certaines très rares.
Via Bernard BRUNET
Tout comprendre de la révolution du biohacking avec la newsletter trimestrielle «BioCoder». Publiée par O’Reilly, éditeur spécialisé dans l’innovation et la recherche, la consistante newsletter trimestrielle BioCoder (89 pages pour l’édition d’été, quand même…) aborde tous les enjeux de la révolution DiY biologique, la nourriture et la santé en premier lieu, mais également son impact sur le commerce, l’art, les loisirs, la législation… Au sommaire de sa quatrième livraison, cet été, des consommables bio-tech open source, un tour dans le cloud pour visiter le laboratoire Leukippos, la sécurité chimique du DiY bio ou encore de la gastronomie moléculaire avec un authentique fromage vegan. Publiée par O’Reilly, éditeur spécialisé dans l’innovation et la recherche, la consistante newsletter trimestrielle BioCoder (89 pages pour l’édition d’été, quand même…) aborde tous les enjeux de la révolution DiY biologique, la nourriture et la santé en premier lieu, mais également son impact sur le commerce, l’art, les loisirs, la législation… Au sommaire de sa quatrième livraison, cet été, des consommables bio-tech open source, un tour dans le cloud pour visiter le laboratoire Leukippos, la sécurité chimique du DiY bio ou encore de la gastronomie moléculaire avec un authentique fromage vegan.
Fabien Guillemot, chercheur à l'Inserm, planche depuis 2005 avec ses équipes sur la bio-impression (ou le bioprinting en anglais). Une technologie qui consiste à imprimer des tissus vivants par des approches d'impression 3D.
La Paillasse est un biohackerspace, un laboratoire communautaire pour les biotechnologies citoyennes, qui est juxtaposé au hackerpsace /tmp/lab à Vitry sur Seine. La communauté de La Paillasse est composée d’amateurs d’origines très diverses ayant pour point commun une curiosité pour la biologie et les biotechnologies et une envie d’apprendre et de créer ensemble leur propres projets autour des sciences du vivant en y injectant leur compétences personnelles. Vous y rencontrerez, venant de toutes disciplines, des geeks, des doctorants, des étudiants, des hackers, des designers, des artistes, des ingénieurs, des chercheurs, des sociologues, des philosophes… Le biohackerspace La Paillasse est le premier laboratoire moderne de biologie en France ouvert à tous.
Via Bernard BRUNET
La société Organovo, spécialisée dans la fabrication de tissus vivants par l’impression 3D, vient de déclarer avoir produit ses premiers échantillons de tissus de foie. Elle aurait fourni ces tissus à d’éminents spécialistes de la recherche médicale afin qu’ils puissent étudier ces échantillons. Cette annonce était attendue plutôt pour le mois d’avril dans les prévisions ...
L'université de Copenhague a démarré une collaboration d'un nouveau genre avec une association de biohackers, pionniers de la biologie "à faire soi-même" promise, selon Birger Lindberg Møller, professeur de biologie synthétique à l'université de Copenhague et initiateur de cette collaboration, à un brillant avenir. "Cet environnement est extrêmement propice à l'innovation, il apporte beaucoup d'inspiration tant aux chercheurs qu'aux jeunes entreprises. de notre côté, nous bénéficions d'une solide expérience. C'est donc une coopération bénéfiques à toutes les parties" explique-t-il.
Bioprinting is printing with biological materials. Think of it as 3D printing, but with squishier ingredients! There's a lot of work being done at research labs and big companies like Organovo on print human tissues and human organs, with an eye towards drug testing, and transplantation into humans.
Via Kalani Kirk Hausman
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