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Il se décrit comme un « aventurier » dans l’univers des savoirs. Pierre Dillenbourg, 55 ans, a un parcours de précurseur. D’abord instituteur dans son pays natal, la Belgique, il s’inscrit à un master en sciences de l’éducation à l’université de Mons : « jeune idéaliste », il voulait « changer la formation des enseignants », afin de « changer le monde ». Esprit curieux, il découvre les balbutiements de l’intelligence artificielle et, en 1985, consacre son mémoire de master à « l’apprentissage automatique en informatique et à ses applications pour qu’un logiciel éducatif s’auto-améliore avec le temps ».
L'apprentissage du code à l'école est de plus en plus répandu. Mais qu'en est-il des pays où l'éducation n'est pas toujours facile d'accès, notamment pour les jeunes filles ? Girls Can Code, sous l'impulsion de The Womanity Foundation, compte bien répondre à cette question en Afghanistan. Explications avec Mashable.
Entièrement open source, avec recette en ligne, matériaux accessibles en fablab et bientôt en kit à une centaine d'euros, l'OCPC ou «One CNC Per Child», conçue au Japon, augure la révolution de la machine à commande numérique pour tous.
Alors que le numérique prend une place de plus en plus conséquente au sein des programmes scolaires, les disparités dans l’accès aux technologies perdurent, avec de lourdes conséquences pour les foyers les plus modestes, dénonce une étude Common Sense Media, relayée par le New York Times.
Un enfant sur quatre. C'est, en moyenne, le taux d'équipement d'un ordinateur portable personnel au sein des foyers américains dont les revenus sont inférieurs à 35 000 dollars par an. Sans surprise, ils sont plus de six enfants sur dix à en posséder un dans les foyers dont les revenus annuels sont supérieurs à 100 000 dollars.
Stéphane Distingin, co-auteur d’un rapport sur « la grande école du numérique », expose ce plan qui vise d’abord à soutenir des formations existantes.
La BBC vient de révéler le visage de Micro:Bit, une innovation qui permettra à un million de 11-12 ans de s’initier gratuitement à la programmation informatique. Explications avec TechCrunch.
D’ici 2020, le Royaume-Uni aura besoin d’un million d’ingénieurs et techniciens dans le numérique s’il ne veut pas passer à côté des opportunités de croissance que promet le secteur. Pour pallier la future pénurie de talents, diverses initiatives ont déjà vu le jour comme Year of Code ou Make it Digital.
C’est dans le cadre de cette dernière campagne, lancée en mars dernier avec la BBC, qu’a vu le jour Micro:Bit. Un circuit imprimé est doté d’un accéléromètre, de LED programmables, d'une antenne bluetooth, d’une puce informatique et de ports qui permettront aux enfants les plus enthousiastes d’ajouter encore plus de composants.
Les usages des réseaux sociaux par les adolescents ont été largement décrits : de façon statistique, surtout, et du point de vue de la socialisation. Ces usages ordinaires importants trouvent leur pendant dans l’intégration des réseaux sociaux dans certains scénarios pédagogiques. Cet article se propose de faire le point sur les usages scolaires des réseaux sociaux en dehors d’une prescription académique directe.
Selon Neil Gershenfeld, professeur au MIT et créateur du premier « fablab », les laboratoires de fabrication, en faisant des citoyens les producteurs de ce qu’ils consomment, vont révolutionner le système économique.
Si on est prof, il me parait difficile de ne pas être éveillé aux logiciels libres à moins de vivre dans une cave et de ne pas voir tout ce petit monde qui s'agite ou d'avoir une compréhension du monde limité. Je n'ai rien contre les gens qui veulent du tout Microsoft à partir du moment où c'est à usage personnel. Dans l'éducation c'est totalement différent, imposer l'utilisation de licences propriétaires, c'est inciter les élèves au piratage ou à l'achat de licences particulièrement onéreuses. Beaucoup d'enseignants l'ont compris, beaucoup de développeurs aussi, si bien qu'il existe une multitude de logiciels libres pour faire globalement tout, en tout cas pour faire ce qu'il faut et gratuitement. C'est un enjeu à de nombreux niveaux, économique bien sûr, quelle économie réalisée pour les établissements et pour les familles, mais pas seulement, c'est aussi une lutte contre l'obsolescence logiciel qu'engendre Microsoft par le biais des changements réguliers de licence, avec des systèmes d'exploitation de plus en plus gourmand, condamnant ainsi des machines encore parfaitement fonctionnelles qui peuvent supporter parfaitement un Linux pour redonner une seconde jeunesse. Lutter contre l'obsolescence logiciel c'est lutter contre l'obsolescence matériel, et c'est donc un acte écologique puisqu'en prolongeant la vie des machines c'est autant d'ordinateurs en moins qui iront à la casse et les produits chimiques qui vont avec.
L’apprentissage de l'impression 3D aura une courbe de croissance très élevée d’ici à 2 ans. Une des meilleures ressources disponibles à l'heure actuelle est Empire Makers.
Il existe un grand besoin en ressources éducatives pour enseigner aux gens de tout âge à appréhender cette technologie. Une des meilleures ressources disponibles à l'heure actuelle est Empire Makers. C’est un logiciel de conception 3D qui rend l'impression 3D amusante et facile. Il est livré avec un programme d'apprentissage complet et ne nécessite pas de CAD, ce qui en fait le logiciel idéal pour les enfants.
Apprendre à programmer en ne faisant que répondre à l'écrit à des devinettes, sans même que le "professeur" n'explique les erreurs ou donne des indices sur la bonne réponse. C'est l'idée étrangement efficace de Toxicode, qui a mis au point Silent Teacher, une application en ligne d'enseignement de la programmation.
Ils étaient quatre créateurs de labs à dialoguer lors de Made With Fablab, une conférence de Futur en Seine, le 12 juin 2014. Des labs pour l’entreprise, l’éducation ou le grand public ?
Voilà une trouvaille bien sympathique glanée chez Korben, qui va vous permettre de tâter de l’intelligence artificielle et de la programmation Ruby tout en vous amusant. Le but du jeu est simple et consiste en gros à mener votre vaillant guerrier en haut d’une tour, à l’aide des compétences en programmation que vous possédez ou que vous allez acquérir au fil des niveaux. Pour comprendre le principe il suffit de jeter un œil à la capture ci-dessus, où vous pouvez voir votre guerrier trépigner d’impatience à l’idée de monter les marches situées à droite de l’écran. Pour qu’il puisse le faire il va falloir que vous entriez la portion de code adéquate dans la console située plus bas, ce qui vous mènera au niveau suivant.
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« Hello, World! ». Dans le monde de la programmation, cette formule équivaut aux premiers pas ou aux premières paroles d'un bébé. Rituel initiatique, tradition, convention... peu importe le nom que vous lui donnez, il est là, tel un leitmotiv connu de tous les programmeurs. Mais d'où vient-il ? Qui l'a inventé ? Pourquoi ces deux mots ont-ils pris l'ampleur qu'ils ont aujourd'hui ?
Valérie et Bertrand ont sept enfants : Hugo, 21 ans, Océane 19, Baptiste 17, Jules 15, Emma 13, Noé 7 ans, Louve 19 mois. Lui est chef d’entreprise. Elle, assure le conseil juridique de l’association « Les enfants d’abord » qui aide les parents qui choisissent de déscolariser leurs enfants.
En 1999, alors que quatre de ses cinq enfants sont scolarisés, Valérie découvre que si l’instruction est obligatoire jusqu’à 16 ans, l’école ne l’est pas. Elle propose alors à ses enfants de vivre avec elle l’aventure. Treize ans plus tard, Valérie et Océane témoignent de leur expérience.
Si vous cherchez à monter en compétences dans des thématiques aussi variées que les sciences informatiques, la médecine, les sciences sociales, les mathématiques, les statistiques, l'ingénierie...etc., j'ai une bonne nouvelle ! Bon faudra savoir lire l'anglais... Mais c'est quand même une bonne nouvelle ! L'éditeur Springer vient de mettre en ligne plus de 50 000 ebooks (en PDF) téléchargeables gratuitement sur son site.
Afin de mieux préparer ses jeunes générations aux métiers de demain, le gouvernement australien mise sur l’enseignement du code dès le plus jeune âge. Explications avec un article de Mashable.
Sur les pas de l’Angleterre, l’Australie fait, elle aussi, entrer le code et la programmation informatique dans les rangs des matières principales enseignées à l’école.
Dès cinq ans, les élèves auront droit à des cours de code, suite à un recentrement des programmes scolaires sur les STEM (Science, Technology, Engeneering & Math), ces matières scientifiques sur lesquelles le Premier ministre Malcolm Turnbull compte mettre l’accent.
Pour le gouvernement, la rentrée sera numérique. A quelques jours de la sortie de la très attendue Loi sur le Numérique et de nouvelles déclarations sur la Grande Ecole du Numérique, l'Elysée accueillera pour la première fois un hackathon. Nom de code : Hackathon - Innovathon.
Premier jeu pédagogique consacré à l'apprentissage du code, Project Spark propose de se mettre dans la peau d'un créateur de jeux vidéo et de développer son propre univers.
Accessible aux plus jeunes, le jeu débute par le choix ou la création d'un monde dans lequel évoluer. Le joueur est ensuite amené à choisir son propre personnage, dont il pourra faire évoluer les caractéristiques.
Le décor, lui aussi, est remaniable : il est possible de travailler les actions des personnages et leurs interactions avec les objets, en ayant recours à la logique et à la compréhension des algorithmes.
Un « makerspace » est un lieu de découverte mais surtout de création où les jeunes pourront créer leurs propres outils digitaux. Durant l’année scolaire 2015/16, trois « makerspace » verront le jour au Luxembourg.
Via Gust MEES
J'ai décidé de vous présenter à travers un certain nombre de billets, des projets de jeunes ivoiriens. Des projets qui selon moi méritent d’être soutenus et accompagnés. Je vous invite à (re)faire une lecture de ces projets, car nous sommes à un carrefour qui nous interroge et exige de nous, d'être les artisans d'une Afrique numérique. Une Afrique où la culture du choix de l'innovation doit fleurir en chacun de nous. Je dirai tout simplement : accompagnons l'innovation ... pour mieux apprécier son impact !
Dans la première édition (2004) de ce manuel, qui est un classique, Introduction to Public Librarianship, Kathleen de le Pena McCook expose les quatre piliers du service en bibliothèque : la sphère publique, l’héritage culturel, l’éducation, l’information. Le pilier de la sphère publique est celui m’intéresse ici et sur lequel je voudrais me pencher. La sphère publique est un concept qui appartient à l’appareil théorique d’Habermas. Il décrit un espace de la société moderne à travers ses structures, ses fonctions, ses conditions d’émergence et de transformation. Ce domaine de médiation entre la sphère privée et de l’autorité publique permet aux individus d’échanger librement au sujet d’enjeux communs à travers le véhicule de l’opinion publique, de proposer des alternatives critiques au discours de l’État et de s’engager dans l’action politique.
Via Véronique D, Bernard BRUNET
Depuis plusieurs années, la Côte d'Ivoire a entamé tout doucement sa transition numérique dont les résultats s'étoffent au fil du temps. Elle est aujourd'hui en phase de passer à une vitesse supérieure et les actions de certains acteurs de cette transition numérique, méritent de rompre le silence constructif.
Le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique par le biais de sa Direction de l'Information Scientifique et Technologique (DIST) a institué une Compétition dénommé les Génies de l’Education Numérique Ivoirienne .
Pete Lomas is a co-founder and trustee of the Raspberry Pi Foundation, a UK registered charity which exists to promote the study of computer science and electronics, especially at school level, and to put the fun back into learning computing. Pete has a particular interest in embedded systems and using Raspberry Pi to interface and interact with the real world. As his day job, Pete is founder and Director of Engineering for Norcott Technologies, a UK-based electronics design and contract manufacturing company. Previously in his career he has been a lecturer in computer science at the University of Manchester (UK), and has held roles in electronic product design and development.
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