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Cet entreprise cible les porteurs de projet à visée commerciale en leur offrant espace, machines... jusqu’aux conseils des experts les plus pointus.
Via Corinne Chauffrut Werner , Bernard BRUNET
Le concept de fab lab se professionnalise et séduit de plus en plus d'industriels. Découvrez sept de ces lieux de prototypage numérique collaboratif.
"Les entreprises ne regardent désormais plus l'open source comme un simple jouet pour développeurs", affirme Florent Zara, président de la dernière édition de l'Open World Forum. Selon lui, toute entreprise qui souhaite réussir sa transformation numérique et innover se doit même de le considérer sérieusement et in fine de l'adopter. L'innovation ouverte devient le passage obligé de l'innovation numérique. Explications.
L' « innovation ouverte » est basée sur le partage, la coopération entre entreprises. Ce partage peut se faire sur l'intelligence économique, des savoir-faire ou de la R&D. Déjà très pratiquée par les grands Groupes, l'Open innovation peine à intégrer le milieu des PME. Des spécialistes du sujet ont tenté de trouver des explications à ce phénomène pour pouvoir ensuite mettre en place des solutions de développement.
Identifiée en premier lieu comme un phénomène de société, la tendance du Do It Yourself, littéralement “faites le vous-même”, inspire et accompagne aujourd’hui les grandes entreprises dans leur transformation. Des petits fab labs de quartiers aux ateliers R&D de grands groupes, on relève une effervescence d’initiatives tournées vers l’innovation et la micro-industrialisation. Retour sur l’évolution du modèle “DIY” à l’heure du numérique et passage en revu des nouveaux challenges pour les marques.
Via Laurence, JP Fourcade, Corinne Mayer, Lockall, Bernard BRUNET, Aurélien BADET
Le système Ubuntu, basé sur Linux, remporte un vif succès. Il peut représenter une alternative intéressante d’un point de vue technique et économique pour des TPE-PME, avec quelques conditions et limitations cependant.
Quelles ressources pour l’open source en France ? L’Opiiec, l’observatoire paritaire des métiers de la branche Syntec-Cinov, vient de dresser un état des lieux très complet sur la pénétration des logiciels libres au sein des DSI comme des prestataires en sondant quelque 250 entreprises. Prospective l’étude évalue aussi les compétences attendues d’ici 3 à 5 ans et l’adéquation de ces besoins avec l’offre de formation existante en France.
Comment l'impression 3D peut-être utile aux entreprises ? Réponses avec cette sélection d'objets totalement ou en grande partie réalisés grâce à des imprimantes 3D.
Via Pascal Minguet
Le titre se suffit à lui-même ici. On pourrait ajouter aux entreprises, les institutions et les particuliers, bref tout le monde. Non content d’avoir été accusé par le passé de réserver dans Windows des portes dérobées à la NSA, non content d’être fortement suspecté de laisser les autorités américaines collecter nos données dans Skype, Microsft est maintenant soupçonné de différer la publication de ses patchs de sécurité pour en informer d’abord les mêmes autorités américaines ! Tout DSI normalement constiué(e) devrait lire cet article et en tirer avec sa direction ses propres conclusions.
Les SSLL connaissent depuis plusieurs années une sensible croissance de leur CA et de leurs effectifs. Elles se réunissent au sein d'associations régionales, comme Alliance libre dans l'ouest, elles-mêmes membres du Conseil national du logiciel libre.
Les SSII spécialisées dans les logiciels libres (ou SSLL) sont en grande majorité des très petites entreprises. Mais si elles sont pour la plupart de petite taille, ces sociétés ont une belle santé, comme le montrent celles d'Alliance libre, qui réunit des entreprises de Bretagne et des Pays-de-Loire.
Le modèle d’éditeur de logiciel libre ou open source malgré ses défauts semble incontournable pour financer le développement de nouveaux logiciels libres. Quelques rares exemples nous montrent qu’une autre voie est possible : celle de la mutualisation. Mais c’est une voie anxiogène pour bien des sociétés de services en logiciel libre. Si l’utilisateur prend le contrôle du logiciel, ce sera au détriment des prestataires de services. Mais au final, c’est bien l’utilisateur que le logiciel libre est censé libérer.
Le choix d’un logiciel libre ou open source repose sur un ensemble de considérations plus ou moins spécifiques. Certaines considérations sont communes aux logiciels propriétaires, comme la couverture fonctionnelle. D’autres sont plus particulières et entraînent souvent bon nombre d’interrogations, voire font reculer les utilisateurs potentiels. Un article qui se positionne dans le contexte de l’entreprise.
Les applications métiers sont des solutions logiciels dédiées à un corps de métier bien précis. Dans ce domaine le logiciel libre et l’open source ont encore bien du chemin à parcourir. Pourtant c’est bien cette direction qui semble porter le plus gros potentiel en terme de développement. Encore faut-il mettre en place les structures aptes à favoriser leur développement.
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Eh oui, je sais que ça va vous énerver mais que voulez-vous ? Depuis que je bosse dans une Digital Agency parisienne, je côtoie des gens qui vivent au quotidien les principes économiques du monde professionnel. Alors, pourquoi ne serait-ce encore possible de passer au libre ? Essayons de voir ça en quelques points.
Axa, Pernod Ricard et la SNCF ont adopté les méthodes de Facebook. Elles font plancher des week-ends entiers des génies de l'informatique sur des projets d'applications et de services en ligne. Enquête sur un phénomène.
Via Karine SACEPE, Zones Mutantes, Bernard BRUNET
Le président et co-fondateur d’ideXlab, plate-forme d’intermédiation en innovation ouverte, partage les expériences rencontrées par les entreprises qui souhaitent mettre en œuvre l’innovation ouverte. Dans cette vidéo JL Liévin explique les principales dimensions de transformation de l’entreprises qui doivent être anticipées.
Mais à quoi peuvent bien servir les fab labs ? Ces espaces communautaires permettent à des particuliers de fabriquer, grâce à une imprimante 3D en accès libre, l'objet de leur choix. Mais ils peuvent aussi être utiles aux entreprises, qu'elles soient de jeunes pousses ou des groupes centenaires, ont expliquaé plusieur créateurs de fablabs lors d'une conférence au festival du numérique Futur en Seine.
L’open source occupe désormais une place non négligeable au sein de l’écosystème de l’IT. L’évolution de l’open source a créé une mutation de la vision de cet environnement par les entreprises.
Si celles-ci précédemment adoptaient les solutions open source principalement pour leur gratuité, les mentalités ont évolué et les entreprises sont désormais beaucoup plus séduites par la qualité et la sécurité des solutions open source.
C’est ce qui ressort du huitième rapport annuel de Black Duck Software. Parmi les entreprises sondées, près de 80% ont déclaré avoir choisi l’open source en raison de la qualité de son code par rapport aux solutions propriétaires, tandis que 70% étaient favorables à l’open source à cause de la sécurité renforcée qu’il fournit.
Open data, co-innovation, cloud computing et API s’imposent comme les quatre piliers du numérique des entreprises. Un palmarès que nous proposent Nathalie Dupuis-Hepner et Eric Villemin dans Les Echos Business. Pour déterminer ces quatre éléments essentiels au fonctionnement des entreprises aujourd’hui, les deux consultants se sont attardés sur les usages : sur Internet, « la démarche de mutualisation ouvre des perspectives en termes d'efficacité économique, d'emploi et de management. »
Dans un rapport qu’il vient de publier, l’observatoire Paritaire OPIIEC évalue les besoins des entreprises et des fournisseurs en technologie open source et dresse un bilan des filières de formation
L'impression 3D recèle un potentiel important, et nombre d'entreprises emploient déjà cette technologie. Que leur apporte-t-elle, en quoi l'impression 3D peut se révéler intéressante, et quelles en sont les limites ? L'impression 3D, outil de production flexible Les petites structures, comme les start-up, voient en cette technologie la possibilité de produire des prototypes à moindres frais, aidées en cela par le système de crowdfundig. Le cabinet d'analyse Gartner explique ainsi que « les premiers adeptes peuvent tester les imprimantes 3D en prenant un risque minime de perte de capital ou de temps, en obtenant éventuellement un avantage dans la conception et le délai de commercialisation des produits par rapport à leurs concurrents ».
Très largement répandu dans les sociétés françaises, l'Open Source ne fait néanmoins pas encore l'objet d'une approche très structurée. Un état de fait qui s'améliore parallèlement à l'augmentation des budgets qu'elles consacrent au logiciel libre.
Project Open, le logiciel open source de gestion des projets pour entreprise, est disponible en version 4.0. Cette version apporte comme principale nouveauté une meilleure intégration avec les produits Microsoft. En effet, l’outil bénéficie d'un nouvel assistant de configuration qui simplifie l'intégration des projets Project Open dans les serveurs SharePoint.
Une fonctionnalité expérimentale nommée Funambol est disponible pour la version Linux de Project Open. Cette dernière permet à Project Open de synchroniser les données du calendrier avec Outlook et divers périphériques mobiles comme les smartphones Android et iOS.
Compter et recompter ses licences pour ne pas être pris en défaut, voilà une activité dont la plus-value est faible pour l'entreprise. Une bonne raison pour passer au logiciel libre.
Une entreprise intelligente intégrée sait prendre des décisions avisées, fondées sur les innombrables données qu’elle recueille chaque seconde, jour après jour. Cependant les solutions propriétaires qui permettent d’adopter ce modèle s’accompagnent de frais de licence prohibitifs pour de nombreuses entreprises.
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