Libre de faire, Faire Libre

Comme tous les mois depuis maintenant 8 mois, 3DHubs publie les statistiques de son réseau, qui connaît une croissance très forte.
Qu’apprend-on de ces statistiques ?
Tout d’abord le nombre d’imprimantes 3D dans le réseau continue à augmenter très rapidement. Alors que le site s’est lancé il y a un peu plus d’un an, ce sont aujourd’hui plus de 6000 imprimantes qui sont listées. Paris est la neuvième ville en termes d’imprimantes 3D enregistrées avec 58. C’est Milan et New York les deux villes les plus présentes sur le réseau  avec respectivement 108 et 107 imprimantes 3D listées.

For those interested in 3D printing opportunities in the area of car repair, they should take a look at antique car restoration. There are many antique cars that are sitting around unused in garages for the lack of a single part. This is literally true because cars normally breakdown one part at a time. If the part can't be replaced, the car goes nowhere.

Jay Leno, the celebrated comedian, owns a huge antique car collection and has taken advantage of 3D scanning and printing technology to make his own replacements. First he uses a 3D scanner to produce a 3D digital model of the part. The digital information is then sent to a Dimension 3D Printer to make a plastic replica. The plastic part is then checked to see if it fits into place on the antique car. If it does, that means the digital model is correct. The digital model is then sent to a CNC machine where the part is fabricated.

Le collège Louise Michel de Lille (14 rue de Cannes) s’est doté à la rentrée 2013 d’une imprimante 3D. Une dizaine d’élèves de 4e participent au projet de construction de l’imprimante et à la production/réalisation d’objets.

Projet technologique et pédagogique

Pour conter leur aventure technologique, les collégiens ont créé un blog : FabLab Louise Michel où l’on peut suivre l’aventure de ce beau projet (principalement en images légendées), à terme, qui vise à installer un fab lab permanent au sein de cet établissement scolaire.

A suivre!

Pour ce nouvel article nous avons pris le parti d’assembler notre propre imprimante 3D, histoire de bien maîtriser tous les tenants et aboutissants de l’impression 3D. La démarche était donc plus pédagogique que technique et il nous fallait une machine digne de ce nom, capable d'être assemblée en un minimum de temps.

Il n’y a rien de mieux qu’un projet DIY pour vous occuper, en particulier lorsque vous avez du savoir-faire plein la tête, et que vous voulez vous “libérer” de tout ça dans un projet qui vous intéresse. On a récemment vu la tour en Lego, et si vous aviez toujours voulu posséder votre propre imprimante 3D, pourquoi ne pas en fabriquer une vous-mêmes en briques de Lego ? C’est ce qu’un étudiant en ingénierie, Matthew Kreuger a fait. Vous avez juste besoin d’un vieux caméscope, d’un pistolet à colle, de quelques centaines de briques Lego, et c’est à peu près tout. Vous pouvez trouver toutes les instructions sur le site Instructables.com si vous êtes intéressé(e).

Kreuger a déclaré que cette imprimante 3D DIY est encore un prototype, mais elle peut sortir des objets en 3D qui ont été modelés avec le logiciel Digital Designer de LEGO en colle chaude. Une brique LEGO NXT sera utilisée comme le “cerveau” de l’imprimante, car c’est ce qui fait la marcher, via ces trois ports de sortie qui seront utilisés pour brancher les moteurs, et quatre ports d’entrée pour brancher les capteurs. Rien ne vaut un peu de créativité et une circonstance (le manque d’argent dans ce cas) pour trouver une solution abordable, non ?

L’imprimante 3D semble être l’une des plus grande innovation technologique de notre époque. Pourtant elle existe bel et bien depuis les années 90. Sa performance et sa puissance de production se sont fortement améliorées depuis lors.  Conçue pour les industriels, aujourd’hui elle s’est démocratisée et est accessible pour les particuliers, pour un prix d’entrée de 375 euros environ.

Le laboratoire informatique et IA du MIT a mis au point un prototype d'imprimante 3D qui peut utiliser jusqu'à dix matériaux pour "imprimer" un objet. Les universitaires prévoient déjà d'intégrer des composants électroniques avec la prochaine version de l'appareil.

Norge Systems, une société anglaise basée à Douvres, vient de lancer une campagne de crowdfunding sur le site Kickstarter. Cette campagne a été lancée pour financer le développement d’une première imprimante 3D SLS Low Cost, ou plutôt de deux imprimantes 3D SLS Low Cost : la Ice1 et la Ice9.
Cette campagne a été lancée en début de semaine et la société cherche à lever 250 000£ (environ 300 000€).

Depuis 2 ans, quelques projets se sont lancés pour commercialiser des imprimantes 3D de résine abordables, principalement avec la technologie de stéréolithographie ou SLA. Le premier d’entre eux a été FormLabs (dont nous vous parlions la semaine dernière) avec sa Form1, issue des travaux d’une équipe de recherche du MIT. Cela permet ainsi à des utilisateurs passionnés ou professionnels (prosumers) d’avoir accès à de l’impression de résine, permettant une bien meilleure résolution et pour un prix raisonnable.
Aujourd’hui, nous vous parlons d’un nouveau venu sur l’impression de résine, LittleSLA, qui a la particularité de proposer une démarche opensource.

Vous avez surement entendu parler du Fablabde Nantes, cet atelier associatif Nantais composé d’imprimantes 3D et de machines numériques en tout genre

Comment ça marche ? Un Fablab est un atelier avec des machines numériques. Le fablab de Nantes s’appelle Plateforme C. Il est géré par l’asso Nantaise PING qui fait la promotion du numérique d’une manière générale.

Nantes est l’une des premières villes de France a s’être doté d’un laboratoire de fabrication avec des machines numériques. Le concept est d’ailleurs fièrement soutenu par la région pays de Loire et par Nantes Métropole.