Your new post is loading...
Your new post is loading...
Thomas Landrain est à la tête de La Paillasse, le biohacklab qui bouscule la recherche scientifique. Fondé en 2011 dans un squatt, le lab a migré depuis 2014 en plein cœur de Paris, tourne avec une dizaine de permanents, et lance des projets collaboratifs d’innovation ouverte. Interview.
Bonjour Franck Rousseau, merci de bien vouloir nous parler de Cozy dont tu en es le fondateur et le directeur technique, avec un parcours de libriste intéressant. Cozycloud, c’est quoi exactement ?
Cozy est une plateforme qui permet de démocratiser le serveur personnel. Pour faire simple Cozy permet d’avoir des services de gestion de calendriers, de contacts, de fichiers et de mails sur une machine qu’on garde à la maison ou en ligne. Il se synchronise aussi avec notre téléphone et nos ordinateurs. C’est qu’on appelle un cloud personnel. Pour être plus précis, Avec Cozy on peut déployer des services webs sur une machine à soi aussi facilement que sur un smartphone. L’objectif est de permettre aux utilisateurs de services web de reprendre la main sur le stockage et le traitement de leurs données. Ainsi non seulement leur vie privée est respectée, mais en plus ils peuvent mieux exploiter les données en les faisant travailler de concert. Exemple : avec Cozy, quand je rentre un contact dans mon téléphone, toutes mes applications sont informées. Je n’ai donc pas à saisir à nouveau le contact dans mon appli de partage de photos ou mon client mail). En faisant sauter plein de petites frictions comme celle là, Cozy vise à rendre notre vie numérique beaucoup plus simple… vous allez pouvoir arrêter de taper sur vos appareils !
Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir la société FabZat, au travers de son co-fondateur Florent Pitoun.
Pouvez-vous nous présenter votre société FabZat ? FabZat propose le premier service de produits dérivés à la demande, imprimés en 3D, pour les jeux vidéos. Le principe est simple, l’éditeur embarque une boutique (faite par FabZat) dans son jeu vidéo et l’utilisateur peut en quelques clics transformer ce qu’il y a de virtuel (personnage, véhicule…) en objet réel, personnalisé et livré quelques jours plus tard chez lui. FabZat compte déjà plus de 10 contrats actifs et une soixantaine d’éditeurs en cours de test du service !
Ils étaient quatre créateurs de labs à dialoguer lors de Made With Fablab, une conférence de Futur en Seine, le 12 juin 2014. Des labs pour l’entreprise, l’éducation ou le grand public ?
En plus de leur utilisation en prototypage rapide dans le domaine de l’ingénierie, les imprimantes 3D sont devenues des outils essentiels des Makers, ce qui entraîne également l’ouverture des nouveaux lieux de création et collaboration et des nouveaux métiers. Il y a deux ans on commençait à peine à entendre parler des FabLab en France, aujourd’hui, il existe une quantité importante de ces laboratoires dédies à la fabrication numérique, à l’innovation et au partage des savoir-faire. 3Dnatives est allé à la rencontre du manager du FabLab Digiscope, Romain Di Vozzo, nous découvrons avec lui la philosophie et les projets de ce lieu pensé pour les chercheurs !
Vous participez ou administrez directement une école de musique ? Ou plus généralement vous vous occupez d’un lieu associatif qui doit organiser la gestion des plannings, des adhérents et des contacts, la réservation des salles, la planification des cours, le prêt du matériel… ? Sachez qu’il existe une excellente application développée depuis plus de dix ans par deux passionnés de musique et d’informatique ! Le logiciel s’appelle ALGEM (le L c’est donc pour Libre) et il méritait assurément une petite mise en avant.
En janvier 2011 nous réalisions une interview intitulée Ne pas subir, toujours agir ! Rencontre avec Patrick d’Emmaüs. Près de 3 ans plus tard, il nous a semblé intéressant de prendre des nouvelles du projet qu’il porte tant son histoire et son évolution nous semblent exemplaires.
Cette interview a été initialement publiée en anglais le 24 septembre 2013 sur Linux notes from DarkDuck sous le titre « Patrick d’Emmabuntüs: Emmabuntüs is more than a Linux distribution ».
Pour les enseignants-chercheurs en informatique, ce n’est pas la priorité accordée aux logiciels libres par un projet de loi qui devrait faire débat, mais l’absence de moyens pour former leurs collègues des lycées et collèges. Faute – notamment – de reconnaître l’informatique comme une discipline à part entière. Sur ce point, « il est urgent de ne plus attendre », considère un rapport récent de l’Académie des sciences. Commentaires de Colin de la Higuera, président de la Société informatique de France.
Dans cette semaine consacrée à l’accueil et aux nouveautés déjà là et imminentes, prenons un temps pour faire le point sur la communauté qui irrigue littéralement Framasoft de son énergie active. Car au-delà de l’association et des outils web, Framasoft est avant tout une communauté… Alexis, notre éleveur de lolcats plus connu dans les bas-fonds du Web sous le sobriquet de aKa, nous parle de ces gens de l’ombre qui œuvrent tant et tant pour partager librement et faire de la culture libre un idéal en marche, résolument.
Aujourd’hui nous choisissons de mettre en lumière un jeune développeur qui devrait donner des idées à tous les étudiants en informatique qui nous lisent. Comme vous allez le voir, en choisissant la voie de l’open source, les projets qui paraissaient hors d’atteinte sont finalement accessibles. Rien n’est gagné d’avance mais la voie est libre !
De Firefox à Chromium en passant par Midori, ce ne sont pas les navigateurs Web qui manquent. Il y en a pour tous les goûts, des plus complets aux plus légers. Parmi eux se trouve QupZilla, un navigateur lancé en 2010 par son actuel développeur principal, David Rosca. Alliant légèreté et fonctionnalités, il a aussi la particularité d’être développé par un étudiant qui a lancé ce projet à l’âge de 17 ans, alors qu’il était encore lycéen. Il étudie maintenant l’informatique à l’Université technique de Prague, en République Tchèque. Aujourd’hui, il répond à nos questions pour le Framablog.
Michel Bauwens, chercheur et fondateur de la P2P Foundation revient sur la montée de l’économie en peer to peer et de son impact et de sa relation avec le système capitaliste. Selon lui, les deux modèles sont en conflit mais demeurent encore interdépendants.
I had the privilege to interview Ray Stoeckicht, the co-founder of an exciting new free software/open souce company creating Zurmo. Zurmo is a "social CRM": a program aimed at making CRM fun (if you know something about CRM, you will know that the word "fun" never seems to associate with CRM).
Fab’ lab’, imprimantes 3D... « Le consumérisme a vécu », assène le philosophe pour qui, motivés par nos seuls centres d’intérêt, nous allons changer de mode de travail. Les bureaux de Bernard Stiegler font face au Centre Pompidou, sous les toits de Paris. C’est pour son célèbre voisin que le philosophe a fondé l’Institut de recherche et d’innovation (IRI), afin d’« anticiper les mutations de l’offre et de la consommation culturelle permises par les nouvelles technologies numériques ». Mais dans l’esprit de l’enseignant-auteur-chef d’entreprise, tout est lié : culture, consommation, technique, travail, politique. Pour lui, le modèle consumériste se meurt, comme celui du progrès permanent. Tout s’automatise. L’intérêt économique ne peut plus être le seul poursuivi. Il faut réhabiliter le savoir, la connaissance, la créativité. Comment ? En développant une « économie de la contribution », qui révolutionne la manière de travailler. Entretien.
|
DIAL publie plus souvent des articles sur les paysans sans terre brésiliens [1] que sur les problématiques en lien avec le développement de l’informatique et d’Internet. Si les deux thèmes peuvent sembler sans rapport, ils soulèvent en fait le même type d’enjeux en termes de rapports de pouvoir et d’autonomie. Dans le monde numérique, comme dans le monde rural brésilien, des luttes sont en cours entre des « grands propriétaires » (Google, Apple, Facebook, Microsoft…) qui cherchent à maintenir et à étendre leur emprise, et des groupes et des individus qui se mobilisent pour construire et défendre des pratiques et des espaces plus autonomes [2]. Le premier texte de ce dossier est consacré à une initiative récente de Facebook pour, soi-disant, fournir un accès Internet aux populations qui pour l’instant n’en disposent pas. Le second, publié ci-dessous, est un entretien avec Carlos Eduardo Parra Falcón, chef des opérations du projet Canaima, le système d’exploitation GNU/Linux [3] développé par l’État vénézuélien. Entretien publié sur le site de Rebelión, le 13 mai 2013.
Mme la député Isabelle Attard est interviewée par Alexis Kauffmann le 1er octobre 2014 à l'Assemblée Nationale
Le Fablab El Paso a ouvert en mars 2014 dans le quartier historique d’El Paso au Texas, où Pancho Villa achetait ses armes et où Sergio Leone situait « Et pour quelques dollars de plus ». Rencontre avec Gustavo Arriaga, co-fondateur.
Pete Lomas is a co-founder and trustee of the Raspberry Pi Foundation, a UK registered charity which exists to promote the study of computer science and electronics, especially at school level, and to put the fun back into learning computing. Pete has a particular interest in embedded systems and using Raspberry Pi to interface and interact with the real world. As his day job, Pete is founder and Director of Engineering for Norcott Technologies, a UK-based electronics design and contract manufacturing company. Previously in his career he has been a lecturer in computer science at the University of Manchester (UK), and has held roles in electronic product design and development.
Gilles Babinet, ancien du CNN (Conseil National Du Numérique) et actuellement responsable des enjeux de l'économie numérique, pour la France auprès de la Commission européenne a été interviewé par mes amis de TinkerView au sujet des Big Data, de la déconnexion des institutions (gouvernement) par rapport à l'ère du numérique, de la CNIL etc etc... …
Patrick Moreau, responsable du patrimoine logiciels au sein d’Inria, revient sur les travaux de l’institut public de recherche en sciences du numérique dans l’Open Source et fait le point sur le transfert de technologie.
Mamadou Diagne, plus connu sous le nom de Genova, est un informaticien, évidement, un geek et hacker. C’est un monsieur qui est très actif dans la communauté sénégalaise du Libre. Depuis qu’il est dans ce métier, il a fait beaucoup de choses. Mais son objectif principal, c’est d’agrandir la communauté des utilisateurs des TIC, de montrer le savoir-faire des Africains, particulièrement des Sénégalais dans ce domaine. Genova est l’initiateur des Barcamps organisés au Sénégal. Il a créé aussi une application qui vous permet de twitter sans connexion internet.
Tout au long de cette semaine Framaccueil, nous vous avons présenté une partie des coulisses de notre nouvelle page d’accueil. Cette semaine a été l’occasion pour nous de mieux communiquer sur l’ensemble des services proposés, grâce à vos dons, à vos apports, à notre travail commun.
Tous ces projets sont bien jolis, mais le projet initial, c’est tout de même un annuaire… L’annuaire Framasoft, avec ses dix années au compteur, a mérité une belle retraite… En effet, il se prépare depuis quelque temps déjà un nouveau projet qui, espérons-le, rendra autant de services durant autant de temps… Nom de code : FramaLibre. C’est à Nicolas (aka lamessen) que l’on va essayer de tirer les vers du nez…
Avant d’être un outil, le logiciel est une création de l’esprit. Et pour les programmeurs les plus inspirés, le code peut s’apparenter à une création artistique. Il est donc logique que la défense et la promotion du logiciel libre soient assez vite allées de pair avec la volonté de rendre libres d’autres créations de l’esprit, d’autres domaines artistiques.
La culture, bien vite, a exploré cette nouvelle façon d’aborder l’échange des créations de l’esprit… La musique a été un des premiers domaines où des expériences libres ont eu lieu à grande échelle. Martin, un tout jeune étudiant qui a conçu le site Framazic, nous parle du tournant culturel pris par l’association Framasoft.
Interview du co-fondateur de Sculpteo : Clément MOREAU revient sur la genèse de ce spécialiste de l’impression 3D qui entend bien révolutionner la façon de concevoir, fabriquer et distribuer les objets
A la tête du Conseil National du Logiciel Libre (CNLL) Patrice Bertrand milite pour une meilleure reconnaissance des logiciels open source. Accessibles, modifiables et duplicables par tout le monde, ces logiciels généralement gratuits forment un secteur économique à la croissance exponentielle.
Président de Linagora et membre du conseil d’administration de Syntec Numérique, Alexandre Zapolsky dresse un bilan positif des premiers États Généraux de l’Open Source. Dans cet entretien, Alexandre Zapolsky, PDG de Linagora, membre du conseil d’administration de la chambre professionnelle Syntec Numérique et coprésident de son comité open source, met en lumière les thématiques abordées lors des États Généraux de l’Open Source. L’évènement destiné a lancé une concertation étendue sur la situation de la filière, ses atouts, faiblesses et perspectives, s’est déroulé lundi 21 janvier 2013 dans les locaux du ministère de l’Économie et des Finances, sous le haut patronage de Fleur Pellerin, ministre déléguée en charge des PME, de l’Innovation et de l’Économie numérique.
|