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La Commission européenne reconnaît la dépendance de la communauté aux logiciels Microsoft (Office, Windows, Outlook). Elle envisage des alternatives libres, moins coûteuses, mais reste pour l'instant liée à la firme de Redmond, comme le révèle l'enquête des journalistes d'Investigate Europe.
Le Canard Enchaîné a publié, dans son numéro du 30 décembre 2015, page 4, un article intitulé « Le lobbying d'enfer de Microsoft pour se payer l'école ». L'article analyse le récent partenariat signé entre Microsoft et le ministère de l'Éducation nationale.
Pour Jean-François Julliard, auteur de l'article, l'objectif de Microsoft consiste à « formater » les élèves à l'utilisation de ses produits, avec, en prime pour Microsoft, « un accès aux données personnelles de millions d'élèves et de milliers de fonctionnaires ». Il poursuit en rappelant que la consultation sur le projet de loi pour une République numérique avait pourtant mis en évidence une véritable tendance de fond en faveur du logiciel libre, notamment dans l'éducation.
« Le logiciel libre, c’est la hantise des entreprises high-techs… » Le 8 septembre a été diffusé sur Canal+ le documentaire « École du futur : la fin des profs ? » dans le cadre de l’émission Spécial Investigation.
Le contrat open bar signé entre Microsoft et la Défense continue à questionner les parlementaires. Ceux-ci s’interrogent tant sur son opportunité que sur les conditions de passation de ce marché.
Microsoft annonce la publication d'un nouveau projet open source afin de faciliter l'implémentation des fonctionnalités de son périphérique Kinect pour Windows.
Après un échange de courriers dont Numerama a pris connaissance, la Gendarmerie a refusé de mettre en place une solution antivirus McAfee achetée par la centrale d'achat public de l'Etat, parce que Microsoft considérait qu'elle obligeait à acheter une licence client (CAL) de Windows Server pour chaque poste utilisateur, même sous Linux. La Gendarmerie a prévenu tous les ministères, et demande une solution antivirus basé sur un serveur Linux.
Lors du lancement du projet Ubuntu, le premier bug déclaré consistait en un constat : « Microsoft détient la majorité du marché des postes de travail ». Une affirmation en forme de profession de foi pour lancer alors son projet. Nous sommes en 2004. Le bug vient d’être fermé par celui qui l’a écrit en la personne de Mark Shuttleworth. Seulement qu’a-t-on résolu et surtout qui a réellement contribué à cette résolution?
L’édition 2013 de Solutions Linux a notamment été marquée par l’intervention en ouverture de l’événement de Microsoft, venu évangéliser sa stratégie d’ouverture, Open Source et d’interopérabilité auprès de l’éco-système français. Réactions recueillies sur place.
Il y a un an Microsoft annonçait la création de Microsoft Open Technologies, filiale open source du groupe. Cela avait surpris. Mais il n’y a que les imbéciles (et les non pragmatiques) qui ne changent pas d’avis ;) Toujours est-il qu’on est encore loin du compte si, telle la conclusion de cet article, on souhaite la libération de Windows et d’Office.
Cependant, le développement de ce projet Open Source d'OpenCL pour les processeurs Intel semble en mauvaise posture.
Windows XP ne sera plus supporté, autrement dit, ne fera plus l’objet de correctifs de sécurité à partir du 8 avril 2014. Pour les entreprises encore nombreuses qui font de la résistance, il deviendra difficile de maintenir cette version en production. Devant la complexité de la migration, les logiciels libres peuvent représenter une alternative à prendre en compte. Il doivent cependant convaincre en terme de fonctionnalité et d’ergonomie. De plus les sociétés de ce secteur manquent encore de visibilité et peinent à se faire connaître.
Sans nouvelles depuis plus d'un mois de ses demandes de documents administratifs sur l'accord-cadre entre le Ministère de la Défense et Microsoft, l'April a envoyé le 19 mars 2013 un courrier à la Commission d'accès aux documents administratifs (CADA) pour obtenir un avis et un complément d'information. PC INpact avait révélé mardi 5 février 2013 la renégociation en cours de l'offre « Open Bar » de Microsoft au Ministère de la Défense. Le contrat initial avait été passé en 2009 sans appel d'offres et présentait de nombreux abandons des principes relatifs aux achats publics. L'April avait alors dénoncé ce marché et demander la suspension des négociations, afin que toute la transparence soit faite sur le dossier. La CADA rendra un avis dans un mois, après avoir échangé avec les administrations pour leur demander pourquoi les documents n'ont pas été communiqués jusqu'à présent. Espérons cependant qu'un tel délai ne soit pas nécessaire pour que la transparence soit faite sur le dossier.
(Québec) Le président du Conseil du trésor, Stéphane Bédard, forcera l'utilisation du logiciel libre pour sortir l'État québécois de sa dépendance aux multinationales de l'informatique. Malgré cela, certains acteurs de l'industrie craignent que la situation demeure un «bar ouvert» pour les géants comme Microsoft.
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Fort marri de l’accord entre Microsoft et l’Education Nationale, plusieurs associations du logiciel libre montent au créneau pour faire annuler ce partenariat.
Édunathon n’a pas digéré l’accord signé le 30 novembre 2015 entre Microsoft France et l’Éducation nationale, respectivement représentés par Alain Crozier et Najat Vallaud-Belkacem.
Et si l’on apprenait de ses erreurs ? Et bien, c’est en tout cas ce que me laisse penser les dernières de Microsoft, tant décriées sur plusieurs aspects
Via Jean-Jacques Roland
Encore et toujours, le contrat open bar liant le ministère de la Défense à Microsoft interroge les députés. Dernier en date, Marie-Françoise Bechtel qui vient de questionner le nouveau ministre sur le renouvellement de cet accord-cadre.
Selon des documents administratifs obtenus par l’April, le choix d’un contrat cadre entre la Défense et Microsoft fait « suite à une décision politique » prise en amont des études sur la faisabilité et les risques. Des études qui seront finalement ignorées.
Microsoft est très optimiste sur les chances de l'impression 3D de devenir un outil grand public, et le fait savoir. Le géant de Redmond, qui estime que "l'impression 3D pourrait aider à faire éclore une Renaissance de la fabrication", a ajouté le support en natif des imprimantes 3D dans le prochain Windows 8.1.
Le titre se suffit à lui-même ici. On pourrait ajouter aux entreprises, les institutions et les particuliers, bref tout le monde. Non content d’avoir été accusé par le passé de réserver dans Windows des portes dérobées à la NSA, non content d’être fortement suspecté de laisser les autorités américaines collecter nos données dans Skype, Microsft est maintenant soupçonné de différer la publication de ses patchs de sécurité pour en informer d’abord les mêmes autorités américaines ! Tout DSI normalement constiué(e) devrait lire cet article et en tirer avec sa direction ses propres conclusions.
Lorsque la distribution GNU/Linux Ubuntu est sortie en 2004, son père fondateur Mark Shuttleworth a signalé lui-même le premier « bug » : Microsoft détient la majorité du marché (Microsoft has a majority market share). Il s’agissait symboliquement, et avec humour, de montrer le cap à suivre en désignant le principal concurrent. Aujourd’hui la donne a changé et Shuttleworth a décidé hier de marquer ce bug comme résolu (fix released), quand bien même cela ne signifie pas, loin de là, qu’Ubuntu ait gagné comme il s’en explique ci-dessous.
Le samedi 20 avril 2013, le site de l'émission « Le Vinvinteur » (diffusé sur France 5, à 20h00 chaque dimanche) a publié une série de documents sur l'accord « Open Bar » entre Microsoft et le ministère de la Défense. Ces documents ont été diffusés dans le cadre de l'émission diffusée le 21 avril 2013, qui avait pour titre « L'armée "accro" à Microsoft" ? ».
« L’armée capitule face à Microsoft » : confirmant une information du site PCInpact -qui avait levé le lièvre dès 2008-, le Canard Enchaîné a révélé mercredi dernier que l’armée française était sur le point de reconduire un contrat, sans appel d’offres, avec Microsoft. Problèmes : il « coûte cher, augmente les risques d’espionnage et se négocie… dans un paradis fiscal » .
C’est officiel, Microsoft cessera l’an prochain le support de Windows XP et Office 2003. Dans ce contexte, certains en profitent pour proposer le logiciel libre comme sauveur des utilisateurs ainsi délaissé. Pour ma part, je pense que ce n’est vraiment pas aussi rose. Malhonnête cette fin de support? Microsoft l’explique clairement, si Office 2013 ne sera plus supporté c’est tout de même après un support de 10ans et la sortie de 3 versions ultérieures (2007, 2010 et 2013). Quant à Windows XP, le système d’exploitation a bénéficié d’un support de presque 14ans, un record en la matière!
Le président du Conseil du trésor assure toutefois que ces mesures seront transitoires Québec vient d’adopter deux décrets favorisant la multinationale Microsoft dans la mise à jour de plusieurs milliers de postes informatiques de la fonction publique, mais aussi permettant aux organismes publics d’octroyer des contrats informatiques à une dizaine de grands groupes informatiques, sans appel d’offres ni mise en concurrence de leurs produits avec les logiciels libres.
Le renouvellement possible des licences de la suite Office de Microsoft sans appel d’offres par le gouvernement Marois apparaît comme une mesure transitoire, le temps que le secteur du logiciel libre prenne des forces au Québec. Le président du Conseil du trésor, Stéphane Bédard, annonce d’ailleurs aujourd’hui une série de mesures pour permettre au gouvernement de développer son expertise du logiciel libre et d’en intensifier l’utilisation au sein des organismes publics.
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