Il y a une diversité d’associations dans l’écosystème du logiciel libre, mais pour celles dont la vocation est de représenter les entreprises, la situation est très simple: d’une part une dizaine d’associations régionales, d’autre part le CNLL au niveau national.
A l’occasion des récents “Etats Généraux” de l’open source, Mme Fleur Pellerin a demandé aux acteurs de l’open source, et d’ailleurs plus largement aux acteurs du numérique, de se structurer, de se fédérer, pour donner au gouvernement un nombre plus réduit de représentants.
Nous comprenons cette volonté et, en ce qui concerne la filière des entreprises de l’open source en France, nous l’avons anticipée depuis plusieurs années.