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Les plâtres actuels, faits comme leur nom l'indique de plâtre et de fibre de verre, n'ont pas radicalement évolué depuis longtemps. Mais l'impression 3D pourrait rénover la manière de traiter les fractures.
La technique médicale de la greffe d’organe et la technologie de l’impression 3D pourraient bien avoir franchi toutes les deux une étape décisive. Relayés dans une revue scientifique américaine, des spécialistes annoncent avoir réussi l’exploit d’imprimer des parties du corps humain.
Avec sa prothèse DiY Bionicohand et son prix du MIT, Nicolas Huchet est l’un des meilleurs ambassadeurs du mouvement maker. Alors que son dernier projet, Handilab, concourt au Google Impact Challenge, c’est à São Paulo que nous l’avons rencontré cet été.
Médecin à Gaza, Tarek Loubani a lancé le projet Glia, qui fournit des plans d'équipements médicaux libres et open-source pour le monde entier. Son premier projet, un stéthoscope à 30 centimes, serait aussi performant que les matériels professionnels les plus chers.
C’est une première en France. Maxence, un petit garçon de six ans, vient d’être équipé d’une main droite entièrement fabriquée à l’aide d’une imprimante 3D. Un généreux bénévole a conçu cette main pour seulement 50 euros. Quand les nouvelles technologies et l’économie solidaire se mettent au service d’une noble cause, cela donne une histoire pleine de sens…
Fablab 47, impression 3D, avènement du numérique dans la conception et la fabrication : l'entreprise Sireix à Pont-du-Casse, exemple du choix de l'innovation.
L'entreprise Sireix ne mord pas. Elle montre des dents et apprécie les commentaires savants des dentistes de partout, tout comme elle apprécie les compliments des sommités mondiales en matière de soins dentaires. Et elles sont là, les dents : en titane, en céramique. Des canines, des incisives, des molaires et des prémolaires.
Via Michel Briand
Le 26 janvier 2015, la Paillasse a accueilli dans ses locaux parisiens le premier hackathon dédié aux données de santé, co-organisé par l’Assurance Maladie et la mission Etalab. Retour sur cet évènement, les projets et les enseignements de cette journée.
Imprimer de la peau synthétique similaire à la peau humaine ? Ce qui relevait il y a peu de l’impossible et de l’imaginaire est désormais chose faite, grâce à l’imprimante 3D.
La HAS contribue au mouvement en faveur de l' open data en mettant à la disposition de la société des données issues des travaux de l’évaluation des médicaments, de la certification des établissements de santé et des indicateurs de qualité et de sécurité des soins.
L’open data, ou « données ouvertes », consiste à mettre les données publiques brutes à disposition de tous (citoyens, entreprises…) dans des conditions qui préservent la vie privée et le secret commercial. Une fois diffusées sur Internet sous forme de fichiers, elles sont librement accessibles et gratuitement réutilisables. L’open data fait partie intégrante de la modernisation de l’action publique soutenue par le Gouvernement français.
Le projet PrintAlive, primé par la fondation James Dyson, pourrait bien changer la façon dont on soigne les brûlés, alors que c’est un domaine où peu de progrès a été fait depuis longtemps. En effet, même si on sait de mieux en mieux lutter contre les infections et autres complications de ce genre de blessures, il n’existe pas encore de remède nous permettant de reconstruire la peau, en dehors de la greffe de peau.
Le principal problème de l’assistance à la reconstruction de la peau est que la peau est complexe et constituée de plusieurs couches de cellules toutes très spécifiques. Afin de permettre une régénération de la peau, il faudrait être en capacité de soigner chaque couche spécifiquement.
L’impression 3D permet d’imaginer de nouvelles façon d’imaginer, de développer et de produire des objets et de les personnaliser. C’est notamment le cas pour le secteur médical, et principalement les prothèses.
L'Afrique de l'Ouest est secouée depuis plusieurs mois par une grave épidémie causée par le virus Ebola. Une épidémie qui frappe principalement 4 pays (Guinée, Liberia, Sierra-Leone, Nigeria) et qui a causé à ce jour, plus d'un millier de victimes avec son cortège de désolation. Tous les autres pays ont mis en place un gros dispositif préventif allant jusqu'à la fermeture des frontières, en plus d'une vaste politique de sensibilisation publique de proximité. En Côte d'Ivoire, le gouvernement appelle à la vigilance et invite toute la population à respecter les recommandations du ministère de la santé publique, avant de préciser qu'aucun cas de la fièvre Ebola n'a été détecté en Côte d'Ivoire.
Prothèses de main et de jambe, fauteuils roulants, imprimantes de braille… les projets dédiés à faciliter la vie des personnes en situation de handicap se multiplient dans les labs.
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L’armure d’Iron Man n’est plus très loin ! La collaboration entre la mécanique, l’industrie spatiale et la technologie médicale a permis la naissance de RoboGlove : un gant permettant de donner à son utilisateur une force et une adresse surhumaine.
A Bordeaux, Poietis imprime des cellules vivantes. Brevets à l’appui, l’entreprise vient de lever 2,5 millions d’euros pour développer sa technologie guidée par laser d’impression en haute définition de tissus humains.
Les possibilités de la technologie 3D continuent de s’élargir et son utilisation de se démocratiser. En Espagne, un patient a reçu un implant en titane customisé, imprimé en 3D, afin de remplacer une partie de sa cage thoracique, qui lui avait été retirée au cours d’une opération.
Access to reproductive health care is key to the wellbeing of women around the world. But for countless underserved groups—sex workers, immigrants, LGBTQ, and the uninsured, to name a few—access often doesn’t exist.
Le collectif catalan GynePunk veut décoloniser le corps féminin. Et développe pour ce faire des outils de gynécologie de première urgence, pour les femmes en difficulté sociale, réfugiées, travailleuses du sexe. Mais aussi pour elles-mêmes.
C’est à l’occasion d’un congrès médical en Corée du Sud que le Dr. Corre, chirurgien au service maxillo-facial du CHU de Nantes, découvre l’impression 3D. Convaincu du potentiel de cette technologie, il rentre en France et réussi à convaincre son service de lancer une série de projets de recherche sur le sujet.
Né à Tokyo après la catastrophe de Fukushima, Safecast mesure les radiations à l'aide d'un boîtier DiY et partage les données sur une carte. Rencontre avec l’équipe fondatrice du projet.
L'association Initiative transparence santé (ITS), constituée en février, a été dissoute mercredi 1er octobre, selon son ancien président, Christian Saout, joint lundi par l'APM.
Concevoir de manière indépendante un médicament qui ne serait pas breveté pour traiter le cancer, tel est l'objectif du docteur Isaac Yonemoto, dont le laboratoire est basé à San Diego. Pour mettre sur pied les premières étapes de son projet, le chercheur fait appel à la générosité des internautes, par le biais d'une plateforme de financement participatif.
Je vous parle souvent de notre projet avec un étudiant en chirurgie maxillo-faciale au CHU de Besançon, nous allons avec Adrien à la soutenance de sa thèse de doctorat dans quelques jours, et voici une extension de ce projet au CHU de Dijon…...
L’épidémie de la fièvre hémorragique Ebola continue de préoccuper le monde entier et principalement l'Afrique de l'Ouest qui reste encore profondément touchée par cette maladie.
Have your patients ever complained that brushing their teeth takes far too much time? If so, perhaps you should offer them the Blizzdent toothbrush. As one of the latest developments in 3D printing for the dental industry, this toothbrush allows patients to thoroughly and evenly brush their teeth in only a few seconds by using a 3D-printed instrument.
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