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L'organisme W3C, chargé d'encadrer la conception des standards du web, a décidé de faire des extensions pour médias chiffrés une nouvelle recommandation. Au grand dam des défenseurs des libertés dans l'environnement numérique.
Je ne suis en général pas fan des applications permettant de construire des sites web mais celle-ci est très différente des autres, le rendu s’approchant plus d’une présentation classe que d’un site à proprement parler.
Le service nécessite une inscription avec n’importe quelle adresse mail et permet alors de disposer gratuitement d’un domaine ou plusieurs et d’héberger plusieurs sites.
L’interface est à la fois très simple est très complète.
J'ai découvert il y a peu HHVM et ai voulu savoir s'il fonctionnait avec un blog Wordpress et quel gain de performance il pouvait apporter.
Code of War est un hackathon gratuit, ouverte à tous, et basé uniquement sur des technologies web open source. Deux dates sont prévues cette année, une à Paris et l'autre à Bordeaux. Chaque participant aura à programmer l'intelligence artificielle (IA) de son robot au travers d'une boîte à outils SDK disponible en Javascript, TypeScript, CoffeeScript, et Haxe. Les IA s'affronteront alors dans des batailles sans merci dont un seul sortira vainqueur.
Le site média Upworthy a imaginé une métrique novatrice permettant de mesurer l’engagement des internautes. Le code de cet outil est désormais en open-source. Le nombre de pages vues ou le nombre de visiteurs uniques sont les métriques traditionnellement utilisées pour mesurer l’audience d'un site web. Or, aussi bien les annonceurs que les médias en ligne se rendent petit à petit compte que ces statistiques ne renseignent en rien sur la qualité d’un contenu, histoire de savoir si une page a le potentiel de susciter l’attention et l’engagement des internautes. Partant de ce constat, le site de news Upworthy, lequel a pour objectif de publier du contenu fortement viral, a mis au point son propre outil de mesure d’attention. Le site a même pris la décision d’ouvrir le code source de cet algorithme, afin que tout le monde puisse l'utiliser. Sur son blog, Upworthy explique que les clics et les pages vues, longtemps les normes de l'industrie, ne sont pas des outils adéquats pour efficacement mesurer l’engagement des internautes: «C'est dans l'intérêt de tout le monde – éditeurs, lecteurs et annonceurs – de passer à une métrique plus complète, mesurant l’attention portée lors de la consommation du contenu.»
Le mythique site communautaire Reddit a une tradition, celle d’inviter régulièrement des personnalités pour une session AMA, acronyme de Ask Me Anything pour « demandez-moi ce que vous voulez ». On a vu Bill Gates, Madonna et même Obama s’engager ainsi dans le jeu des questions/réponses. Ils donnent généralement une preuve de leur identité en publiant juste avant une photo d’eux contextualisée avec la date et/ou devant un ordinateur (cf image ci-dessous). Quelle belle surprise de voir débarquer hier soir Tim Berners-Lee en personne, le jour-même de l’anniversaire des 25 ans du web ! Nous avons traduit les meilleurs échanges du « père du WWW ». Drôles parfois mais surtout très intéressants.
A la place de la web-édition organisée complètement comme l’édition traditionnelle avec ses comités de rédaction, son patron et son obsession économique je propose autre chose, qui n’est pas entièrement nouveau sur le web mais en perte de vitesse : ce que j’appelle l’association des auteurs. C’est-à-dire le contraire de la logique impériale et territoriale, du désir de maîtrise et d’organisation d’un espace circonscrit par un petit groupe (disons une coterie). Une désorganisation volontaire du web littéraire. Une radicalité créatrice qui ne peut être réelle que si des mouvements existent dans tous les sens sans aucun organe central, que si l’écriture se dissémine hors de tout cadre étroit
Via OeO, Bernard BRUNET, Aurélien BADET
Nous avons décidé d’apporter notre traduction française à une simple page Web (à voir dans sa version originale épurée). Parce qu’il est vrai qu’on a parfois tendance à se perdre dans la forme et oublier les fondamentaux…
Parmi les nombreuses nouvelles API d'HTML5, une en particulier est particulièrement simple à mettre en place et permet des choses plutôt sympathiques : HTML Media Capture.
Chez les bidouilleurs de l'auto-hébergement, il y a des choses qu'on apprend à faire sur le tas : monter un serveur Apache, une base de données, des VirtualHosts et lier des applications à tout ceci, et des choses qu'on apprend sur le tard.
Sur mon installation actuelle, dont je suis assez fier puisque montée en presque autodidacte, je ne me suis pas tout de suite penché sur la sécurité des données qui transitées sur le réseau depuis mon serveur principal. C'est maintenant chose faite : une partie de mon installation est désormais chiffrée part OpenSSL. Mon instance ownCloud et la partie administration de ce blog propulsé sous Dotclear sont maintenant systématiquement redirigés vers leurs version HTTPS et non plus HTTP. En fait, à chaque fois qu'un mot de passe est demandé, je veux que ce soit fait de façon sure, en sécurisant le transite des données entre le navigateur et le serveur. Je vous propose donc de partager ici les manipulations à faire pour un serveur sous Debian (encore Squeeze) et Apache2.
Remarque : La configuration que je vous propose se base sur des certificats auto-signés. Le principe des certificats repose sur une notion de confiance : le certificat est délivré par une entité jugée sure et reconnue qui prouve/atteste que vous arrivez dans une zone faisant transiter des données critiques de façon protégée. Avoir un certificat "officiel" coûtant environ un bras et deux jambes, ce que je vais expliquer ci-dessous s'appuie sur un certificat généré par vos soins, non officiel donc. Cela ne change rien quant au gain de sécurité. Le navigateur soupirera parce le certificat qu'il accepte n'émane pas d'une entité officielle, mais c'est tout.
Hollywood a remis ça. Son dernier stratagème pour s'approprier le web ? Faire usage de son influence au World Wide Web Consortium (W3C) pour intégrer les menottes numériques (DRM) à HTML5 – autrement dit, à la structure même du web. La Fondation pour le Logiciel Libre a lancé une pétition « Dites au W3C : nous ne voulons pas d'un Hollyweb ».
Aidez-nous à rassembler 50 000 signatures avant le 3 mai 2013, Journée internationale contre les DRM. La Fondation pour le Logiciel Libre apportera ces signatures au W3C.
Si vous faites dans la création 3D, et que vous aimeriez tellement partager avec vos amis, votre dernière réalisation sans que ces derniers n'aient besoin Le partage et l'embed dans un site deviennent alors possibles... C'est un peu comme Youtube mais pour la 3D...
Le service est gratuit pour 500 MB de stockage. et 10 modèles maximum. De plus, en gratuit, tout ce que vous publiez sera rendu visible dans la galerie (ce sera public donc). Pour du partage privatif, de la protection par mot de passe, des stats et plus de place, il faudra passer au forfait payant. N'empêche, c'est un excellent moyen de partager sur votre site, des éléments 3D... Les contenus web vont devenir encore plus riches !
Hola! est une startup Israélienne de 12 personnes qui a été créée en 2008, et qui vient de mettre en ligne sa technologie de cache web peer to peer... En effet, ce qui fait qu'une page web mette du temps à s'afficher, ce sont les temps de réponse entre le client et le serveur. Les connexions sont saturées, les chemins empruntés par les paquets parfois longs et les protocoles de communication propres aux systèmes d'exploitation, pas assez optimisés.
La société Hola a donc mis au point un cache sécurisé qui stocke et compresse un contenu consulté par un internaute pour le resservir à un autre internaute géographiquement proche. Ainsi, plus il y a de gens qui utilisent Hola, plus les connexions sont rapides. Le soft est disponible sous la forme d'une extension pour Chrome, mais aussi d'une application pour Android et Windows. La société parle de gains de performance allant de 50 à 100%.
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Deux MOOC très intéressants sur l'analyse multidimensionnelle avec R et le Web sémantique
A retrouver sur Fun Mooc: - Analyse des données multidimensionnelles :
Google a lancé cette semaine un outil de pentesting nommé « Firing Range« , qui vise à améliorer l’efficacité des scanners automatisés dédiés à la sécurité des applications Web en les évaluant avec une large gamme de XSS et de quelques autres vulnérabilités Web exploitées à ce jour.
Après la gueule de bois des vacances, je vous propose de reprendre en douceur avec une recette de cocktail dont vous me direz des nouvelles ! Interne ou externe, telle est la question ? Aujourd’hui, bon nombre d’entreprises confient l’hébergement de leurs sites web à des professionnels de la toile et de plus en plus externalisent certaines de leurs applications dans le cloud. L’avantage est que l’entreprise ne porte plus la responsabilité de l’interruption de service et le cloud peut avoir un attrait financier. D’un autre côté, elle perd en maîtrise de la surveillance, mesure de performance de ses applications externalisées. Le « hic » à tout ça, c’est que les entreprises sont obligés de faire confiance aux rapports fournis par leurs fournisseurs de service. Est-ce bien objectif ?
HSTS permet à un site web en HTTPS de notifier au navigateur web qu’il doit toujours revenir le voir en HTTPS et non en HTTP. Concrètement, ça prend la forme d’une entête spéciale envoyée par le serveur lors de la consultation d’une page web en HTTPS. Donc il faut que votre visiteur visite au moins une fois votre site web en HTTPS pour que la règle soit prise en compte.
« Le 12 mars 1989, Tim Berners-Lee propose un projet pour en finir avec certaines problématiques rencontrées lors du partage des informations au CERN (Centre européen pour la recherche nucléaire). Sa proposition table sur la mise en place d’un système distribué s’appuyant largement sur les liens hypertexte. Comme on le sait, le principe a rencontré un succès tel qu’il a été généralisé les années suivantes pour toute sorte d’informations publiques. Le web était né. » (source PC Inpact) Le problème c’est qu’envisagé au départ comme un bien commun à tous, il a subi depuis de nombreuses attaques de ce qu’on pourrait appeler « l’État/marché »…
Si vous avez besoin d'extraire de manière structurée des données d'une page web, en général vous commencez par développer un script à base de regexp qui va parcourir le code HTML et au final vous pondre un CSV ou un tableau Excel. Ou alors une XSL qui fera office de moulinette de transformation. Voire un petit bout de C++ à l'ancienne.... Mais comment faire quand on n'a pas ce talent ou tout simplement pas le temps ? Et bien il existe un service en ligne qui s'appelle Kimono et qui permet de "scraper" le web facilement. Voici une démo en vidéo pour que vous compreniez mieux comment ça fonctionne
Découvrez Piwik, un web analytics a la communauté très active et au service impeccable. Pour faire évoluer son site web dans le bon sens, il n'y a pas de mystère, l'analyse est la clé. Comment améliorer son référencement ou son trafic sans savoir ce qui cloche, ou ce qui marche vraiment bien ? Et pour bien analyser son trafic, il faut bien sur un bon Web analytic. Le plus connu est sans aucun doute Google Analytics, outil gratuit et complet, simple à installer. Mais GA est loin d’être le seul analytics existant ! Il en existe beaucoup, souvent payant, et parfois open source, comme c'est le cas de Piwik.
Du 1er au 4 juillet, les professionnels et étudiants sophipolitains ont rendez-vous avec SophiaConf, le cycle de conférences sur l’Open Source de Sophia Antipolis. Organisé depuis quatre ans par la Commission Open Source de Telecom Valley, SophiaConf vise à réunir en trois jours, ingénieurs, chercheurs, techniciens, étudiants et néophytes autour de sujets Open Source à la fois techniques et sociétaux.
Si vous développez un peu et que vous avez besoin de placer sur votre projet web, une carte pour faire de la dataviz, j'ai ce qu'il vous faut. La Dataviz ou data visualization, c'est rendre digeste de la donnée brute en la mettant en situation, par exemple sur une carte du monde. jVectorMap permet de cela grâce à la puissance du CSS et du JavaScript. Pas besoin de flash, les cartes sont vectorielles et interactives et jVectorMap utilise uniquement des standards du web. Une API vous permet d'ailleurs de gérer tout type d'événements sur la carte (clic, survol de la souris, placement de points...etc). jVectorMap propose de nombreuses cartes de tous les pays, villes, régions du monde ainsi qu'un documentation très claire et de nombreux exemples pratiques. (Le taux de chômage aux États-Unis, le résultat des élections en France ou des trucs un peu plus sur-mesure comme ce plan de galerie commerciale.) Il y a vraiment de quoi s'amuser !
Définition HTML HTML (HyperText Markup Language), est un langage de balise, permettant la mise en forme d’une page Web. Spécifié par le W3C (World Wide Web Consortium), le HTML est interprété par le navigateur de l’utilisateur, on parle de langage interprété coté client. XHTML 1.X et HTML5 XHTML 1.X est une évolution du langage HTML4. Il est défini comme une « reformulation de la version HTML4 en une application XML ». Cela veut dire que XHTML 1.X est le successeur de HTML4, fondé sur la syntaxe définie par XML. Cette version a été la plus utilisée depuis la recommandation W3C en 2000 jusqu’à l’apparition de son successeur HTML5. Ce dernier est de plus en plus adopté par les développeurs d’aujourd’hui et devient progressivement le nouveau standard. HTML 5 est une version plus permissive que la version précédente. De nouvelles balises et fonctionnalités sont ajoutées, et d’autres sont dépréciées car elles sont non utilisées ou simplement dépassées. HTML5 définit des familles d’éléments plus variés comme des méta-informations, du contenu embarqué et du contenu interactif.
Nous reproduisons aujourd’hui le dernier billet de Tristan Nitot, dont nous avons traduit la version originale. Il attire notre attention sur un problème crucial aujourd’hui et vous propose d’apporter votre contribution au débat. Alors qu’un véritable raz-de-marée d’applications déferle sur les smartphones et que nous en sommes friands (— ah bon, pas vous, vraiment ?) il est temps de s’interroger sur ce qui fait la force d’un navigateur qui nous permet de tirer le meilleur parti du Web. Car il ne s’agit pas seulement d’y acheter des contenus mais bien d’en faire l’espace de nos libertés, de notre création, de notre vie en ligne.
Tout récemment j’ai voulu tester une solution pour gérer une Web radio. On m’a parlé d’Airtime. Airtime est un logiciel Open Source développé par SourceFabric permettant de gérer votre Web Radio.
Avec Airtime, vous pouvez par exemple: - jouer des morceaux de musique (multiples formats supportés) - procéder à l’enregistrement d’un live - planifier des rediffusions de live précédemment enregistrés - utiliser plusieurs serveurs Airtime (par exemple un par studio). - gérer plusieurs flux avec des qualités différentes (par exemple) - diffuser des enregistrements vers SoundCloud - diffuser votre radio par Shoutcast ou Icecast
C’est alléchant, ça me donne très envie de tester.
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