Si l’approche par la mutualisation des moyens des utilisateurs (pas des « clients ») semble pertinente pour l’avenir du logiciel libre, il n’en demeure pas moins qu’elle porte aussi en elle une part de risque de dérive.
Le risque de la mutualisation
Nous avons vu qu’il existe différents statuts possibles. Pour chacun il existe un premier risque commun : la dominance d’un acteur sur le projet. Cette dominance peut s’exprimer de diverses façons. Mais la principale revient à être dépendant du bon vouloir de celui qui paie.