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OpenERP, le logiciel de Gestion d’Entreprise ou ERP vient de sortir dans nouvelle mouture : la version 7. Avant de nous livrer à une découverte plus approfondie d’un des logiciel phare de l’open source dans cette catégorie, voici un tutoriel pour réaliser son installation sur un système d’exploitation Debian 6.
Notre découverte du monde Linux se poursuit avec sa philosophie. Car oui, comme Microsoft et Apple, GNU/Linux a son propre mode de pensée. Microsoft par exemple a pour idée directrice de s'imposer avec force un peu partout pour qu'ainsi on soit complètement dépendant de Microsoft et que la firme de Redmond se fasse un maximum de blé possible. Apple a suivi une doctrine radicalement différente : faire de beaux produits mais totalement fermés pour qu'on soit complètement dépendant d'Apple et que la firme de Cupertino se fasse un maximum de blé possible. Comment ça je trolle ? Si peu, si peu.
Très curieusement, là où d'autres auraient utilisé Drupal, le choix l'équipe technique de la cellule internet de l'Elysée animée par Romain Pigenel s'est porté sur le CMS Open Source SilverStripe.
Si les communicants de l’Elysée ont parlé d’une refonte, force est de constater qu’il s’agit plutôt d’une réécriture complète du site de l’Elysée, qui a dû couter bien plus que les 50 000 euros annoncés dans la presse. Dans un commentaire vu ici, une certaine « ponette » précise que les 50 000 euros n’intègrent pas les heures fournies par la cellule Internet de l’Elysée ! Au final, le site fort des 4 000 heures de travail fournies par les développeurs de l’Elysée aurait coûté, au minimum, 190 000 euros, en valorisant l’heure de travail à 35 euros sur la base des données d’Eurostat ! C’est un minimum sachant que le travail aurait été réalisé par des salariés de l’Elysée !
Comment permettre aux projets libre et open source de faire face aux difficultés déjà rencontrées dans l’histoire? Il suffit de partager les expériences. Cela permet d’optimiser le développement et l’efficacité des collaborations. Une leçon de vie. Si comme moi vous vous rendez souvent sur des sites d’information libristes comme Framasoft.org, Framablog ou LinuxFr.org, vous avez sûrement remarqué à quel point le Libre fourmille de projets créatifs en tout genre, de la création de systèmes d’exploitation (basés ou non sur GNU/Linux), à la création de nouveaux logiciels adaptés à des niches très précises ou même de projet d’open Hardware défiant l’imagination (on pense aux imprimantes 3D dédiées au BTP « social »). Parfois, il y a une telle émulation qu’on en viendrait presque à se demander si le temps n’était pas enfin venu où tous les utilisateurs seraient enfin programmeurs, et où l’Internet serait le véhicule d’une vie nouvelle de collaborations et de mutualisation de moyens. Car c’est tout cela, le Libre.
Le 24 Janvier 2013 de 09:00 à 18:00 Le deuxième « April Entreprise Camp » sur le thème « Valoriser l'innovation avec les logiciels libres » aura lieu le 24 janvier 2013 de 09h00 à 18h00 à la Cantine de Paris. Cette journée sera axée sur le thème de la valorisation de l'innovation avec les logiciels libres. Ce sera l'occasion de montrer que le logiciel libre est source d'innovation que ce soit pour les entreprises, les associations, l'administration...
OSCAR est un logiciel de créations d’images de partitions, de restauration et de clonage d’ordinateurs. Il est comparable à Symantec Ghost pour les connaisseurs. Cet Outil Système Complet d’Assistance Réseau semble surtout faire bonne impression dans les établissements scolaires. En tant que Live CD, OSCAR offre la possibilité de faire la maintenance de manière mobile. En outre, il peut aussi être installé en mode dual boot avec le système d’exploitation principal.
La défense de la vie privée fait partie de l'ADN des promoteurs du logiciel libre. L'équation de base est simple : si le logiciel est libre, on peut contrôler ce qu'il fait de nos données. Il m'est arrivé d'entendre des libristes s'exclamer haut et fort que jamais ils ne feraient confiance à Google pour des choses aussi importantes que leurs emails.
L’un des principaux avantages du logiciel libre est que la communauté protège les utilisateurs des logiciels malveillants. Aujourd’hui Ubuntu GNU/Linux est devenu un contre-exemple. Que devons-nous faire ?
Le logiciel privateur est associé à la malveillance envers l’utilisateur : code de surveillance, menottes numériques (gestion numérique des restrictions, ou DRM) destinées à imposer des limites aux utilisateurs, et portes dérobées qui peuvent faire des choses déplaisantes sous contrôle à distance. Les programmes qui effectuent l’une quelconque de ces opérations sont des logiciels malveillants et devraient être considérés comme tels.
Comme plusieurs d’entre vous le savez déjà, Android est un écosystème au code source ouvert, mais pas tellement ouvert d’esprit ou de culture. Pour décrire succintement le phénomène, je qualifie typiquement Android de « read-only open-source » (du libre en « lecture seule »). Bien qu’une réussite incontestée dans l’industrie, cette plateforme n’a généralement presque rien en commun avec une distribution Linux conventionnelle (mais ça c’est une discussion pour un autre jour).
Ce qui change aujourd’hui, c’est que notre cher GStreamer supporte maintenant Android, grâce à la nouvelle version du SDK GStreamer. Naturellement, cette trousse de développement est non seulement gratuite et documentée, elle est entièrement libre!
Bonjour, Le 22 novembre dernier se tenait à la Commission Européenne une journée sur le thème de "Implementing FRAND standards in Open Source: business as usual or mission impossible ?" (Utiliser les standards FRAND dans l'open source: opportunité économique ou mission impossible ?). J'ai assisté à cette commission à double titre: en tant que représentant d'Alter Way et de membre du CA de l'April ( j'accompagnais Jeanne Tadeusz, responsable des affaires publics).
Matériels incompatibles, absence d’interopérabilité, formats fermés, logiciels propriétaires… des motifs de colère et de combats familiers de la communauté libriste. Ces problématiques sont cependant un peu désincarnées aux yeux de la majeure partie de nos concitoyens du Net tant qu’ils n’ont pas été personnellement confrontés à des blocages fort irritants.
Une situation concrète est le point de départ du coup de gueule de Terence Eden. Quant à la véhémence de ses propos, elle est à la mesure de l’urgence. Car dans la guerre en cours, celle de notre liberté de choix, Apple, Amazon, Google et quelques autres ont plusieurs longueurs d’avance : des millions d’utilisateurs sont déjà entrés de leur plein gré dans des prisons numériques dorées.
Dans cet environnement, nous ne sommes plus propriétaires des fichiers médias que nous avons pourtant achetés, nous n’en sommes que les usagers à titre révocable et temporaire ! Autant dire que nous perdons la possibilité de réutiliser nos biens dès lors que nous changeons de support matériel. Du disque vinyle au CD-ROM et du DVD au fichier numérique, nous avons déjà vu comment un saut technologique nous contraint à acheter de nouveau. Eh bien cette farce au goût amer se joue maintenant sur la scène des médias numériques.
Parviendrons-nous à libérer nos médias captifs du matériel ? Il faudra certes bien plus qu’un coup de gueule comme celui qui suit, mais il n’est pas mauvais qu’un cri de colère agite un peu nos esprits de consommateurs endormis.
L'association Linux-Alpes convie le public à sa prochaine réunion dignoise, mardi 27 novembre à partir de 20h dans les locaux de Xsalto à Digne. Au programme : - La musique sous licence libre (Creative Commons, Art Libre) sur des sites comme Dogmazic et Musopen. - Les logiciels libres pour la musique : logiciels, outils, astuces pour écouter librement de la musique sur votre ordinateur. Et comme à l'habitude, vous êtes toujours les bienvenus avec vos questions et vos attentes concernant les logiciels libres en général, et en particulier le système GNU/Linux. Si vous souhaitez que nous vous aidions à installer des logiciels libres comme GNU/Linux, venez avec votre ordinateur, et n'oubliez pas de sauvegarder vos fichiers si l'installation suppose un reformatage ou un repartitionnement de votre disque dur.
Les Rencontres Mondiales du Logiciel Libre sont nées en 2000 à l’initiative de l’association bordelaise des logiciels libres (ABUL). Elles ont eu lieu à plusieurs reprises à Bordeaux, pour ensuite essaimer dans d’autres villes en France et dorénavant en Europe avec Genève en 2012 et Bruxelles l’année prochaine.
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Slime Volley est un petit jeu en 2D est un clone du jeu en java, Slime Volleyball, lui-même inspiré du jeu Blobby Volley. Dans ce jeu, vous dirigez une slime (un blob semi-circulaire) sur lequel la balle rebondit. Le développement était en dormance depuis la dernière version en date, la 2.4.2 est sortie en juillet 2010 qui permet de jouer de 2 à 6 joueurs, qu’ils soient locaux, distant ou contrôlés par une IA, mais le projet vient de reprendre vie depuis quelques semaines.C’est donc à l’occasion de l’annonce de la reprise du développement d’une nouvelle version de Slime Volley, que MCMic, le développeur principal de Slime Volley a accepté de répondre à nos questions pour Geek de France :
Le référentiel de projets Open Source GitHub accueille pratiquement 10 000 nouveaux inscrits chaque jour. Une confirmation parmi d'autres de l'acceptation de ces projets au-delà de leur sphère d'origine.
Avec ce sourire, nous en profitons pour vous remercier chaleureusement de votre soutien cette année, qu’il s’agisse d’un don, d’une participation ou tout simplement en diffusant la bonne parole du Libre autour de vous.
Rendez-vous en 2013, parce qu’il reste encore plein de sales gosses à convertir ;)
L'autre jour je croisais Christophe Gallaire au hasard d'un commentaire sur un article de Cyrille Borne. C'est toujours un plaisir d'échanger avec Christophe et une de ses phrase m'interpellait plus particulièrement. Il y écrivait entre autres : « C'est toute cette économie du don dans laquelle le libre se positionne qui l'empoisonne. »
Si vous êtes l'heureux propriétaire d'un Raspberry Pi et que vous utilisez la distrib Raspbian, vous serez ravis d'apprendre l'arrivée d'un store d'applications entièrement dédié à ce petit ordinateur à 25$. Cette petite application X regroupe pour le moment seulement 23 logiciels comme LibreOffice, Aterisk, Freeciv, OpenTTD, Iridium Rising ou encore le jeu commercial Storm in a Teacup.
L'objectif de cet App Store est d'encourager le développement d'applications spécialement conçues pour le Raspberry Pi et centraliser ces applications pour les utilisateurs finaux. En tant que développeur, vous aurez le choix de mettre vos applications en gratuit ou en payant (et ainsi vous rémunérer).
Qui n’a pas son projet libre ? Plus qu’une mode ou un engouement passager, c’est un véritable mouvement de fond depuis quelques années : toute une communauté qui crée, échange, élabore, donne et reçoit des contributions, enfourche de nouveaux projets… Fort bien, mais…
Les entreprises utilisant et fabriquant du logiciel libre à destination des écoles primaires sont rares. Il faut reconnaître que le marché est compliqué et beaucoup plus difficile à conquérir puisqu’il faut démarcher chaque mairie là où les conseils généraux suffisent pour les collèges. C’est donc un travail de fourmi que doivent fournir ces sociétés pour exister. Nous avions rencontré en mars dernier les co-présidents d’iMaugis. Aujourd’hui, c’est Éric Seigne, que nous avons le plaisir d’interviewer. Il en profite pour nous annoncer une nouvelle qui devrait, nous l’espérons, faire beaucoup de bruit ;-)
Parmi les idées reçues concernant le logiciel libre, c’est que pour aider le développement de ce dernier, il faut forcément être un codeur, ou bien supporter la communauté financièrement en envoyant des dons. C’est bien évidemment archi-faux, il y a divers façons d’aide qu’on peut apporter aux logiciels libres : rédiger/corriger la documentation, en les traduisant, ou en les promouvant via des billets de blog ou sur les réseaux sociaux…
Ce week-end, l’Enseeiht accueillait l’événement Capitole du libre, rendez-vous annuel consacré au logiciel libre. Grand public ou spécialisées, de nombreuses conférences étaient organisées dont une intitulée « Hacker la démocratie avec la mémoire politique de la quadruture du net ». L’occasion d’expliquer comment des geeks peuvent aider n’importe quel citoyen à se réapproprier la démocratie via le suivi des élus.
C’est parti !! Le projet Sputnik de Dell et Canonical avec la participation de la communauté Ubuntu est maintenant en vente… Petit tour d’horizon.
C’est donc le 29 novembre 2012 que Dell propose à la vente son XPS 13 sous Ubuntu dédié aux développeurs. Un projet qui aura duré plusieurs mois et aura fait l’objet d’un réel investissement de la part de Dell, mais aussi de Canonical et de la communauté Ubuntu. Ici pas question d’une machine bas de gamme au rabais, mais bien d’une machine haut de gamme.
Quel est le coût d'achat et d'utilisation des logiciels propriétaires dans les administrations publiques ? C'est en substance la question posée à Bercy par deux députés.
Le 19 septembre 2012, le Premier ministre publiait au Journal officiel une circulaire portant sur les « Orientations pour l'usage des logiciels libres dans l'administration ». Le document présente le libre comme un « choix raisonné » pour les administrations. Choix stratégique, choix économique, choix pérenne : « certains produits d’éditeur ont de moins en moins d’alternatives commerciales crédibles, le leader du marché ayant éliminé la concurrence. Le logiciel libre apporte alors des possibilités alternatives », annonce la circulaire Ayrault.
Équiper ses 15 000 ordinateurs municipaux de Linux et d'OpenOffice a permis à la ville de Munich de dépenser 11 millions d'euros de moins que si elle avait choisi Windows 7 et Microsoft Office. Il y a une semaine, la ville allemande de Fribourg indiquait pour se part revenir à Microsoft.
Dans un rapport remis par la municipalité de Munich, en Allemagne, la ville indique qu'elle va réaliser jusqu'à 11 millions d'euros d'économies en adoptant Linux à la place de Windows, et OpenOffice au lieu de Microsoft Office, dans le cadre de son programme LiMux - c'est aussi le nom de la distribution choisie.
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