Lorsqu'on leur demande de choisir quelle licence utiliser pour diffuser leurs publications en Open Access, seulement 5 % des chercheurs choisissent la licence Creative Commons la plus permissive.
C'est une révolution culturelle dont on ne parle que très peu en France. A partir du 1er avril prochain, deux très puissantes organisations britanniques de financement de travaux de recherche médicale et scientifique exigeront que les travaux qu'elles ont financé en tout ou partie fassent l'objet de publications de type Open Access, qui garantissent la gratuité d'accès et un certain niveau de liberté de réutilisation des données.