Le rapport « State of the science of endocrine disrupting chemicals » qui nous est proposé à la fois par l’Organisation Mondiale pour la Santé (OMS) et par le Programme des Nations-Unies pour l’Environnement (PNUE), vient enfin d’être publié.
Via Virginie Lanlo, Andrah
Les auteurs affirment qu’il n’est plus temps de se poser la question sur la relation entre perturbateurs endocriniens et ces maladies chroniques, mais bien plutôt quel est leur degré d’implication et quel coût humain et social est entraîné par le retard à résoudre le problème qu’ils posent.