Le témoin de la Serbie dans un trafic présumé d'organes durant le conflit au Kosovo, dont est accusée la guérilla kosovare, a livré un récit terrifiant du prélèvement du coeur d'un prisonnier qui n'était pas sous anesthésie, dans une interview diffusée par la télévision serbe RTS.
«On m'a donné un scalpel. J'ai mis ma main gauche sur sa poitrine et commencé à couper (...). Le sang a giclé», déclare cet homme, dont le visage était flouté et dont la voix modifiée était à peine audible....