Mais n'importe quoi !

Un Britannique accusé de viol sur une adolescente de 16 ans a été acquitté lundi.

Il a réussi à faire reconnaître par le tribunal qu'il souffre d'une maladie particulière et méconnue : la sexsomnie.

La sexsomnie s'apparente au somnambulisme, ou plutôt un "état" proche du somnambulisme, souvent lié à une apnée du sommeil. Mais au lieu de se balader en "mode automatique", les personnes concernées ne peuvent s'empêcher d'avoir des relations sexuelles pendant leur sommeil... Plus embêtant : elles ignorent tout de leurs agissements, jusqu’à ce qu’un partenaire les alerte.

Pour faire reconnaître sa maladie, ce Gallois de 43 ans a fait témoigner à la barre sa femme et son ancienne compagne. Elles ont confirmé que leur (ex-)conjoint avait l'habitude d'avoir des relations sexuelles avec elles sans en être conscient et se réveillait le lendemain sans aucun souvenir....

Selon la police britannique, la victime, Martin Douglas (45 ans) a appelé les secours après que sa compagne l'a attaqué vers quatre heures du matin. L'homme était en ...

Faire du stop au Zimbabwe ? Risqué, surtout pour les hommes. Trois femmes sont soupçonnées d’avoir violé 17 auto-stoppeurs, dont un militaire et un policier. Netsai et Sophie Nhokwara, 24 et 26 ans, et Rosemary Chakwizira, 28 ans, ont été déférées devant la justice de Harare, rapporte The Herald. Selon les témoignages, le gang faisait monter ses victimes en voiture et les forçait à avoir des rapports sexuels, en utilisant notamment une décoction stimulant la libido et un spray laissant leurs proies inconscientes. Le trio a été arrêté à la suite d’un accident de la route. Dans le coffre de son véhicule, la police a trouvé 31 préservatifs usagés. Apparemment, le gang conservait le sperme des victimes à des fins rituelles. En Afrique du Sud, voisine du Zimbabwe, la semence humaine se vend comme des petits pains. Les préservatifs remplis de sperme peuvent atteindre jusqu’à 3 000 rands (275 euros), à en croire le site NewsDze-Zimbabwe...

Un violeur russe a été pris à son propre piège alors qu'il avait forcé sa victime à lui pratiquer une fellation. Agressée sexuellement, la femme a eu le cran de mordre - et arracher en partie - le sexe de son violeur, relate l'agence de presse russe RIA Novosti
Elle n'a en effet pas hésité à mordre son violeur de toutes ses forces pendant la fellation, empêchant l'agresseur ivre de douleur de fuir en toute impunité après les faits. Ses parties intimes étaient tellement abîmées que celui-ci a dû se rendre de son plein gré vers des services spécialisés pour recevoir les soins adéquats.....

Un homme est poursuivi en justice par son épouse qui lui réclame une compensation de 12 millions de dollars pour préjudice moral, l'accusant d'avoir failli à ses devoirs conjugaux ...