Rémi Bachelet livre ce matin sur G+ ses réflexions sur les risques de non qualité des nombreux Moocs francophones qui éclosent en 2014 :
Causes de problèmes les plus probables.
Je le cite :
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1/ le prof n’a pas travaillé assez son cours pour une diffusion en ligne et massive (pédagogie, qualité des diapos, des autres ressources pédagogiques)
2/ l’université ou la grande école organisatrice se lance sans avoir assez de moyens en temps et compétence ou sans stratégie
3/ le prof ne s’implique pas dans l’animation du MOOC : pas de questions-réponses en direct, participation/réactivité sur forum, communication avec les apprenants...
4/ l'équipe d'ingénierie pédagogique ne connaît pas bien la plateforme (avertissements généraux automatiques envoyés intempestivement)
5/ la plateforme logicielle est peu performante (ergonomie des forums) ou installée de manière techniquement pas fiable (ralentissements, bugs..)
6/ Les opposants aux MOOC (il existe des résistances plus sérieuses que le fameux collectif Anti-MOOC) capitalisent sur ces faiblesses (ou même sur trop de succès) et font fermer cours.
..."
Via
Gilles Le Page
L'offre des MOOCs se diversifie et s'installe dans les universités. :-)
Les MOOC Francophones ont le vent en poupe!