La description qu'un jeune énarque fait de son école rappelle les mots de l'historien Marc Bloch expliquant la démission des élites en 1940. Glaçant.
Scooped by Marco Bertolini |
plerudulier's comment October 28, 2012 4:57 AM
Ces nouvelles formes d'apprentissage, n'est-ce pas le signe même qu'il y a éveil, un réveil même, que même quiconque qui n'en a pas les moyens peut tout de même accéder à l'information, à la formation. Si en plus, à l'instar de l'article en question, il est révélé que ce qui s'y apprend n'en vaut pas la peine, ça devient pain béni.
plerudulier's comment October 28, 2012 5:21 AM
La Chine et l'Inde, j'ai idée que pas mal de nos élites auraient bien du mal à passer les concours d'entrée de leurs écoles. Et en plus ils sont plus nombreux. Nous voilà mal barrés ^_^
Marco Bertolini's comment,
October 28, 2012 5:32 AM
Ils s'inscrivent aussi dans les universités américaines. Une amie belge qui habite la Californie et dont le mari indien travaille pour une boîte de la Silicon Valley me disait récemment que tous ses nouveaux collègues sont des Asiatiques... J'avais écris un article là-dessus sur un autre blog il y a quelques années : http://linguafrancafoundation.org/2009/11/21/the-future-of-science-is-already-here-and-mostly-asian/
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