ICT Security-Sécurité PC et Internet
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Forscher spüren 1,5 Mrd. ungeschützte persönliche Dateien auf | #CyberSecurity #Privacy #Datenschutz

Forscher spüren 1,5 Mrd. ungeschützte persönliche Dateien auf | #CyberSecurity #Privacy #Datenschutz | ICT Security-Sécurité PC et Internet | Scoop.it

Das Sicherheitsunternehmen Digital Shadows findet auf ungeschützten Servern Milliarden an Datensätzen, auch S3 ist betroffen.

Das Bundesamt für Sicherheit in der Informationstechnik weist auf eine interessante Studie der Sicherheitsforscher von Digital Shadows hin: Viel Medienaufmerksamkeit erhielten zwar in den letzten Jahren Hacker, die in fremde Netze einbrechen, sehr oft sind aber persönliche Daten völlig frei zugänglich und liegen ungeschützt auf diversen Servern. Grund dafür sind wohl oft fehlendes Fachwissen und vielleicht auch Mängel bei den Voreinstellungen von NAS-Speichergeräten.

Die Forscher haben in den letzten drei Monaten mit einem selbst entwickelten Scan-Tool nach per Web zugänglichen Freigaben gesucht: SMB-Freigaben, rsync-Freigabe, FTP-, Amazon S3- oder auch ungeschützten Webseiten und NAS-Servern. Dabei spürten sie insgesamt 1,5 Milliarden an Daten mit einer Dateigröße von 12 TB auf, auf die man problemlos per Web zugreifen kann. Bei einer Analyse der Daten fanden sich darunter unter anderem Steuer-Unterlagen, Patientenlisten und Medizin-Daten. Über eine einzige SMB-Freigabe konnten die Forscher in einem Fall auf über zwei Millionen an Körperscans zugreifen, vielleicht Daten eines italienischen Krankenhauses. Am stärksten betroffen war die USA mit 16,3 Prozent der frei zugänglichen Dateien, Deutschland immerhin mit knapp 8 Prozent.

 

Learn more / En savoir plus / Mehr erfahren:

 

https://www.scoop.it/t/securite-pc-et-internet/?&tag=Privacy

 

Gust MEES's insight:

Das Sicherheitsunternehmen Digital Shadows findet auf ungeschützten Servern Milliarden an Datensätzen, auch S3 ist betroffen.

Das Bundesamt für Sicherheit in der Informationstechnik weist auf eine interessante Studie der Sicherheitsforscher von Digital Shadows hin: Viel Medienaufmerksamkeit erhielten zwar in den letzten Jahren Hacker, die in fremde Netze einbrechen, sehr oft sind aber persönliche Daten völlig frei zugänglich und liegen ungeschützt auf diversen Servern. Grund dafür sind wohl oft fehlendes Fachwissen und vielleicht auch Mängel bei den Voreinstellungen von NAS-Speichergeräten.

Die Forscher haben in den letzten drei Monaten mit einem selbst entwickelten Scan-Tool nach per Web zugänglichen Freigaben gesucht: SMB-Freigaben, rsync-Freigabe, FTP-, Amazon S3- oder auch ungeschützten Webseiten und NAS-Servern. Dabei spürten sie insgesamt 1,5 Milliarden an Daten mit einer Dateigröße von 12 TB auf, auf die man problemlos per Web zugreifen kann. Bei einer Analyse der Daten fanden sich darunter unter anderem Steuer-Unterlagen, Patientenlisten und Medizin-Daten. Über eine einzige SMB-Freigabe konnten die Forscher in einem Fall auf über zwei Millionen an Körperscans zugreifen, vielleicht Daten eines italienischen Krankenhauses. Am stärksten betroffen war die USA mit 16,3 Prozent der frei zugänglichen Dateien, Deutschland immerhin mit knapp 8 Prozent.

 

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Faut-il créer un label « Internet bio » permettant aux services respectueux de faire la différence ? | #Privacy #GDPR #EU #Europe #Adds #Advertising #Press #Business #BioInternet?

Faut-il créer un label « Internet bio » permettant aux services respectueux de faire la différence ? | #Privacy #GDPR #EU #Europe #Adds #Advertising #Press #Business #BioInternet? | ICT Security-Sécurité PC et Internet | Scoop.it

Dès mai prochain, les données personnelles seront mieux protégées en Europe. L'occasion pour de nombreux services de commencer à se poser des questions sur leurs pratiques. Mais comment informer l'internaute sur la réalité des choses ? Nous avons décidé de lancer la réflexion.

Il y a un peu plus de deux ans, nous nous posions une question : et si on dépolluait Internet ? Nous notions en effet depuis plusieurs années que les sites devenaient de plus en plus impraticables du fait d'abus publicitaires et de méthodes douteuses comme la lecture automatique des vidéos ou l'auto-refresh.

Mais cette gêne visuelle en cachait une autre : la collecte massive de données, mise en place à travers les services des géants du Net (Analytics, boutons J'aime, etc.) et d'espaces publicitaires toujours plus automatisés.

Quel avenir voulons-nous pour Internet ?
On le voit aujourd'hui, chaque site peut déposer des dizaines de cookies sans le moindre consentement de l'utilisateur, le tout à travers une centaine de domaines tiers. Pour le vérifier, il n'y a qu'à utiliser des outils comme Kimetrak et regarder les données du navigateur (voir notre dossier).

Ainsi, comme on pouvait le craindre, l'Internet que l'on connaissait il y a 20 ans s'est profondément modifié sur trois points principaux : les plateformes y ont progressivement pris le pouvoir, il y est plus souvent question de commerce que de partage libre des informations et des idées, le tout alimenté par une immense collecte de données personnelles.

Comme c'est le cas dans certaines industries, il existe néanmoins des zones de « résistance ». L'information s'y veut en libre accès, elle doit permettre au plus grand nombre de réfléchir au monde d'aujourd'hui plutôt que suivre les derniers buzz, l'entraide et le travail collaboratif y sont des valeurs centrales et le financement se fait à travers des dons ou des abonnements, l'accès aux données n'étant pas considéré comme un « pétrole à exploiter ». 

Malheureusement il n'existe pas vraiment d'élément distinctif fort pour ces sites et services, qui constituent une alternative au tout commercial qui nous entoure désormais dans le World Wide Web.

Un label pour l'Internet propre ?
Faudrait-il créer une sorte d'annuaire ? De label « bio » des services et autres sites en ligne ? Sans doute.

 

Tout du moins faciliter l'accès et la reconnaissance de ces initiatives en fonction d'éléments qui peuvent être facilement vérifiés : structure économique, modèle de financement, trackers, dispositions légales à travers des outils tels que ToS;DR, etc. 

 

Learn more / En savoir plus / Mehr erfahren:

 

https://www.scoop.it/t/luxembourg-europe/?&tag=GDPR

 

Gust MEES's insight:

Dès mai prochain, les données personnelles seront mieux protégées en Europe. L'occasion pour de nombreux services de commencer à se poser des questions sur leurs pratiques. Mais comment informer l'internaute sur la réalité des choses ? Nous avons décidé de lancer la réflexion.

Il y a un peu plus de deux ans, nous nous posions une question : et si on dépolluait Internet ? Nous notions en effet depuis plusieurs années que les sites devenaient de plus en plus impraticables du fait d'abus publicitaires et de méthodes douteuses comme la lecture automatique des vidéos ou l'auto-refresh.

Mais cette gêne visuelle en cachait une autre : la collecte massive de données, mise en place à travers les services des géants du Net (Analytics, boutons J'aime, etc.) et d'espaces publicitaires toujours plus automatisés.

Quel avenir voulons-nous pour Internet ?
On le voit aujourd'hui, chaque site peut déposer des dizaines de cookies sans le moindre consentement de l'utilisateur, le tout à travers une centaine de domaines tiers. Pour le vérifier, il n'y a qu'à utiliser des outils comme Kimetrak et regarder les données du navigateur (voir notre dossier).

Ainsi, comme on pouvait le craindre, l'Internet que l'on connaissait il y a 20 ans s'est profondément modifié sur trois points principaux : les plateformes y ont progressivement pris le pouvoir, il y est plus souvent question de commerce que de partage libre des informations et des idées, le tout alimenté par une immense collecte de données personnelles.

Comme c'est le cas dans certaines industries, il existe néanmoins des zones de « résistance ». L'information s'y veut en libre accès, elle doit permettre au plus grand nombre de réfléchir au monde d'aujourd'hui plutôt que suivre les derniers buzz, l'entraide et le travail collaboratif y sont des valeurs centrales et le financement se fait à travers des dons ou des abonnements, l'accès aux données n'étant pas considéré comme un « pétrole à exploiter ». 

Malheureusement il n'existe pas vraiment d'élément distinctif fort pour ces sites et services, qui constituent une alternative au tout commercial qui nous entoure désormais dans le World Wide Web.

Un label pour l'Internet propre ?
Faudrait-il créer une sorte d'annuaire ? De label « bio » des services et autres sites en ligne ? Sans doute.

 

Tout du moins faciliter l'accès et la reconnaissance de ces initiatives en fonction d'éléments qui peuvent être facilement vérifiés : structure économique, modèle de financement, trackers, dispositions légales à travers des outils tels que ToS;DR, etc. 

 

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Whois-System längst nicht kompatibel mit EU-Datenschutz | #Privacy #GDPR #Laws

Whois-System längst nicht kompatibel mit EU-Datenschutz | #Privacy #GDPR #Laws | ICT Security-Sécurité PC et Internet | Scoop.it
Die Internet-Organisation ICANN scheint auch knapp vier Monate vor Inkrafttreten der EU-DSGVO keinen praktikablen Plan zu haben, wie ihre Whois-Datenbank sich mit den neuen Vorschriften vertragen könnte.

Die Datenschutzgrundverordnug der Europäischen Union sorgt nicht nur in Europa, sondern weltweit für verstärkte Aufmerksamkeit für Datenschutzfragen. Die im englischen Sprachraum als "European Union's General Data Protection Regulation" (GDPR) bezeichneten Vorschriften betreffen unter anderem auch das Whois-Sytem, den weltweiten Verzeichnisdienst für Domain-Namen.

Diese Daten sind in der Whois-Datenbank gespeichert und öffentlich abrufbar. Und da nicht nur simple Zuordnungen von Nameserver-Adressen und Domain-Namen in der Datenbank enthalten sind, sondern auch personenbezogene Daten wie die Namen von für den Domain-Betrieb Verantwortlichen (AdminC, TechC oder BillingC), entspricht das Whois-System nicht den Ende Mai 2018 inkrafttretenden EU-Vorschriften.

 

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https://www.scoop.it/t/securite-pc-et-internet/?&tag=GDPR

 

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Die Internet-Organisation ICANN scheint auch knapp vier Monate vor Inkrafttreten der EU-DSGVO keinen praktikablen Plan zu haben, wie ihre Whois-Datenbank sich mit den neuen Vorschriften vertragen könnte.

Die Datenschutzgrundverordnug der Europäischen Union sorgt nicht nur in Europa, sondern weltweit für verstärkte Aufmerksamkeit für Datenschutzfragen. Die im englischen Sprachraum als "European Union's General Data Protection Regulation" (GDPR) bezeichneten Vorschriften betreffen unter anderem auch das Whois-Sytem, den weltweiten Verzeichnisdienst für Domain-Namen.

Diese Daten sind in der Whois-Datenbank gespeichert und öffentlich abrufbar. Und da nicht nur simple Zuordnungen von Nameserver-Adressen und Domain-Namen in der Datenbank enthalten sind, sondern auch personenbezogene Daten wie die Namen von für den Domain-Betrieb Verantwortlichen (AdminC, TechC oder BillingC), entspricht das Whois-System nicht den Ende Mai 2018 inkrafttretenden EU-Vorschriften.

 

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